engager collaborateurs biodiversité

Engager ses collaborateurs dans une démarche biodiversité

engager collaborateurs biodiversité

Engager ses collaborateurs dans une démarche biodiversité : les clés pour mobiliser et inspirer

Sensibiliser, impliquer, valoriser.

Engager son entreprise pour la biodiversité, c’est aujourd’hui un impératif stratégique et environnemental. Mais comment bien engager autour de la biodiversité en interne ?
Pour faire naître une culture biodiversité au sein de votre entreprise, engagez vos collaborateurs dans un projet qui a du sens, renforce la portée et l’efficacité de vos actions. Voici comment passer à l’action, tout en douceur… et avec impact.

Les leviers pour engager vos collaborateurs

Pour engager durablement autour de la biodiversité, il faut combiner sensibilisation, action et valorisation des impacts.

1. Sensibiliser et former : semez les graines de la prise de conscience

L’engagement commence toujours par la compréhension des enjeux. Pourquoi protéger la biodiversité ? Parce que 50% du PIB mondial dépend directement de la nature. Et au-delà des chiffres, la biodiversité est au cœur de notre quotidien, même si on l’oublie entre deux emails.

  • Actions pédagogiques adaptées :
    • Ateliers de sensibilisation : des ateliers ludiques et interactifs, comme Change the Day ou des Fresques de la Biodiversité, pour comprendre les enjeux, inspirés du modèle de la Fresque du Climat.
    • Formations métiers : intégrez la biodiversité dans les parcours de formation pour montrer comment chaque métier peut avoir un impact.
    • Groupes de travail : co-construisez des initiatives avec les équipes. Une démarche participative booste l’adhésion !
    • Réseau d’ambassadeurs : identifiez des collaborateurs volontaires pour devenir les porte-drapeaux des initiatives biodiversité.
    • Communication interne : multipliez les points de contact (newsletters, intranet, affiches) pour faire vivre les actions biodiversité tout au long de l’année.

📊 Chiffre clé : 70 % des entreprises pensent qu’elles doivent agir pour la biodiversité, mais seules 30 % mènent des actions concrètes .

2. Impliquer les collaborateurs dans la gouvernance

L’engagement, c’est du collectif. Vos salariés ne demandent qu’à participer, alors offrez-leur une place stratégique.

  • Création d’un comité biodiversité : Intégrez les collaborateurs dans des groupes de réflexion pour inclure les enjeux biodiversité dans votre stratégie RSE.
  • Rôle des ambassadeurs : En plus d’être des relais, ils co-construisent et co-pilotent les actions.
  • Projets participatifs sur le terrain : rien de mieux pour fédérer les équipes qu’une action concrète !

🌟 Exemple inspirant : Danone a intégré ses salariés dans un comité pour piloter des projets de régénération des écosystèmes liés à la chaîne d’approvisionnement.

3. Rendre visible l’impact positif

Célébrez les réussites pour renforcer l’adhésion des équipes et inspirer d’autres actions.

  • Valorisation des succès : partagez vos résultats dans un rapport RSE ou une newsletter interne dédiée.
  • Présenter des KPIs concrets : montrez l’évolution des projets avec des chiffres parlants (exemple : nombre d’hectares restaurés, impact sur la faune locale).
  • Impliquer les managers : la hiérarchie doit montrer l’exemple pour impulser un changement durable.

🌟 Exemple inspirant : Schneider Electric sensibilise ses employés par des ateliers biodiversité pour intégrer la nature dans leur quotidien professionnel.

Surmonter les obstacles : des solutions pour chaque frein

 

Obstacle Solution
Manque de sensibilisation Des actions pédagogiques adaptées à chaque équipe.
Résistance au changement Valoriser les bénéfices pour les employés et l’entreprise.
Complexité du sujet Utiliser des exemples concrets et simples.
Priorisation d’autres enjeux Montrer les synergies entre biodiversité et climat.


Focus
: Restaurer la biodiversité a toujours un impact positif sur le climat, tandis que certaines actions pour le climat peuvent nuire à la nature.

Biodiversité & engagement salarié : un duo gagnant

Engager ses collaborateurs autour de la biodiversité, c’est aussi :

  • Créer du sens : les employés veulent contribuer à une mission qui dépasse le simple cadre professionnel.
  • Renforcer la culture d’entreprise : des projets biodiversité fédèrent les équipes et améliorent la cohésion.
  • Améliorer la qualité de vie au travail : reconnecter les salariés à la nature a des effets prouvés sur le bien-être mental.
  • Répondre aux attentes des nouvelles générations : les jeunes talents veulent des entreprises engagées. Selon une étude récente, 67 % des jeunes placent les enjeux environnementaux au cœur de leurs priorités professionnelles.

Rappelons que l’objectif premier de ces actions est de préserver et restaurer les écosystèmes et qu’en s’engageant pour la biodiversité une entreprise agit avant tout pour protéger notre planète et ses richesses naturelles

Des exemples qui font école

  • ENGIE : Dans le cadre de l’initiative act4nature, ENGIE sensibilise ses collaborateurs. Il développe également des actions dans le dialogue avec les parties prenantes tout au long de la chaîne de valeur et contribue à la sensibilisation à la biodiversité dans le monde, ainsi qu’au développement des connaissances des collaborateurs.
  • Accor : déploiement de projets de reforestation en partenariat avec des ONG et les communautés locales. Les équipes hôtelières sont impliquées dans la plantation d’arbres et la gestion de zones naturelles. Ces initiatives s’inscrivent dans leur programme « Planet 21 » pour préserver les écosystèmes et contribuer au développement durable.
  • Schneider Electric : ateliers et formations biodiversité pour sensibiliser et mobiliser les équipes. L’entreprise encourage l’intégration d’espaces verts sur ses sites et des initiatives comme des ruches d’entreprise, favorisant un contact direct avec la nature pour mieux comprendre et protéger les écosystèmes environnants.

📈 Résultat : ces entreprises améliorent leur attractivité tout en répondant aux enjeux environnementaux.

Engagez vos équipes, engagez votre entreprise

En impliquant vos collaborateurs dans une démarche biodiversité, vous ne faites pas qu’agir pour la planète. Vous renforcez votre culture d’entreprise, inspirez un esprit collectif et agissez face aux défis d’aujourd’hui et de demain. Alors, à vos marques, prêts… plantez !

💡 Hyssop vous accompagne pour mobiliser autour de la biodiversité

Chez Hyssop, nous aidons les entreprises à transformer leurs engagements environnementaux en leviers d’adhésion collective. Notre approche ? Allier expertise RSE, pédagogie et activation terrain.

Nos accompagnements incluent :

  • Des ateliers de sensibilisation biodiversité, adaptés à vos équipes et à vos enjeux métier
  • La création de parcours d’engagement sur-mesure (fresques, défis, campagnes internes)
  • La structuration de plans d’action biodiversité intégrés à votre stratégie RSE
  • Le déploiement d’indicateurs pour mesurer et valoriser vos avancées

Faites de vos collaborateurs des acteurs du changement.
📩 Parlons-en → contact@hyssop.co

#RSE #Biodiversité #EngagementCollaborateur #EntrepriseResponsable #StratégieRSE #Sensibilisation #MobilisationInterne #CabinetdeconseilenRSE
https://www.ofb.gouv.fr/

Lancez vous aussi votre roadmap Biodiversité

Nous accompagnons les entreprises à structurer, de façon ambitieuse mais réaliste, l’allègement de leur impact sur la biodiversité, à travers une Roadmap sur-mesureExpertises.

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économie circulaire opportunité

Économie circulaire : des contraintes à l’opportunité

économie circulaire opportunité

Contraintes ou opportunités ? Quand la pression fait tourner l’économie… circulaire

L’économie circulaire s’impose comme une opportunité stratégique. Répondre aux lois, anticiper les risques, innover sous contrainte : un levier à activer dès maintenant.

Pression réglementaire, rareté des ressources, exigences sociétales… et si c’était une chance ?

L’économie linéaire est en bout de course. Pas (que) à cause de convictions écologiques, mais parce qu’elle devient invivable économiquement, réglementairement, humainement.
Et si on arrêtait de voir les contraintes comme des freins ?
Car aujourd’hui, elles dessinent surtout le nouveau terrain de jeu et d’opportunité business des entreprises : celui de l’économie circulaire.

Quatre vérités qui claquent… et qui poussent à l’action

  1. Non, nos ressources ne sont pas infinies.
    On ne peut plus ignorer les limites planétaires. La profusion d’hier est devenue un luxe d’illusion. La dépendance aux matières premières critiques rend notre modèle fragile et coûteux.
    💥 2O matières premières critiques identifiées par l’UE¹. 20 % finissent en déchets.
  2. Oui, on va être de plus en plus nombreux.
    La pression démographique combinée à l’élévation du niveau de vie double potentiellement notre consommation de ressources d’ici 2050.📈 +500 à 750 millions de personnes tous les 10 ans.
  3. On va payer le prix fort de notre insouciance.
    Les tensions sur les approvisionnements et les risques géopolitiques autour des flux de matières explosent. La facture environnementale devient aussi une facture économique.
  4. Petit à petit, la contrainte devient… la norme.
    Ce qui n’était hier qu’un engagement volontaire devient aujourd’hui une obligation légale. Ne pas anticiper, c’est prendre un risque juridique, financier et réputationnel.

Réglementations : de la menace à la méthode

Que ce soit la France, l’Europe ou même la Chine, la pression réglementaire s’intensifie. Mais elle peut devenir un puissant moteur de transformation si elle est bien anticipée.

  • Loi AGEC (2020) : fin des invendus jetés, index de réparabilité, nouvelles filières REP, lutte contre le plastique…
  • CSRD (Europe) : reporting extra-financier obligatoire et harmonisé pour les grandes entreprises.
  • Loi Climat et Résilience (2021) : tri à la source, tri des biodéchets, affichage environnemental obligatoire.
  • Décret tertiaire : -40 % de consommation d’énergie exigés d’ici 2030 dans les bâtiments tertiaires.
  • ESPR (2024) : écoconception obligatoire pour les produits mis sur le marché européen.
  • CRM Act (2024) : réglementation sur les matières premières critiques.

Chiffre clé : en France, les produits électroniques réparés ont augmenté de 10 %, et la rentabilité des produits remis à neuf a crû de 20 % chez les entreprises conformes à la loi AGEC.

Opportunités à saisir (plutôt que des pénalités à subir)

  • Innover sous contrainte, c’est souvent innover mieux.
    Les marques qui anticipent les obligations légales développent des produits plus durables, plus désirables, plus différenciants.
  • S’aligner avec les attentes des clients (et des talents).
    La transparence et la durabilité ne sont plus des options, mais des critères de choix — pour les consommateurs comme pour les collaborateurs.
  • Sécuriser son modèle face à la volatilité.
    Moins dépendre des matières vierges, c’est gagner en résilience face aux hausses de prix et aux crises d’approvisionnement.
  • Se rendre éligible aux financements durables.
    Les investisseurs scrutent désormais les engagements RSE et les pratiques circulaires comme des marqueurs de solidité à long terme.

La contrainte d’aujourd’hui, c’est l’avantage concurrentiel de demain

L’économie circulaire ne se développe pas seulement à coups de conviction. Elle se renforce sous l’effet d’un contexte qui pousse à sortir de l’inaction. Loi après loi, limite après limite, le cadre se dessine. Alors autant choisir d’y voir l’opportunité de l’économie circulaire à façonner… plutôt qu’une urgence à subir.

🌿 Marre de courir après la conformité ? Et si on en faisait un moteur d’innovation ?

Chez Hyssop, on transforme les lois, les indices, les décrets (et même les sigles baroques) en stratégies concrètes.
💼 Diagnostic réglementation & opportunités circulaires
🛠 Atelier d’anticipation légale
📣 Plan de communication responsable

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Contactez Hyssop dès aujourd’hui pour apprendre à faire mieux avec moins ensemble. 

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Un condensé de bases pour commencer, méthodologie, actions concrètes et faciles à activer, des témoignages d’acteurs précurseurs pour que notre monde tourne plus rond.

¹ https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_14_599

 

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Pourquoi et comment engager son entreprise dans une démarche RSE durable ?

Pourquoi et comment engager son entreprise dans une démarche RSE durable ?

L’engagement en RSE : un levier de transformation pour votre entreprise

La RSE, ce n’est plus une option. C’est un vrai levier de différenciation, d’innovation et d’attractivité. Environnement, climat, inclusion… Les attentes sont là. Les solutions aussi.

Chez Hyssop, cabinet de conseil en RSE, on accompagne les entreprises qui veulent faire bouger les lignes. Objectif : passer de la bonne intention à l’action, concrète, mesurable, collective.

Des temps forts pour embarquer toute l’année

L’engagement RSE en entreprise se joue toute l’année et il y a milles occasions de mobiliser vos équipes ! De nombreuses dates rythment l’année et offrent de belles occasions d’activer votre démarche RSE :

  • Semaine du Développement Durable (mai-juin)
  • Octobre Rose
  • Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (novembre)
  • Journée de la Terre (22 avril)
  • Semaine QVCT (mi-juin)
  • Journée mondiale du Climat (8 décembre)

Ces temps forts peuvent prendre la forme d’ateliers, de conférences, de fresques ou de défis. L’essentiel ? Créer du lien et donner envie d’agir.

🎯 Exemple : pour Parfums Christian Dior, nous avons co-construit la semaine Together Dior avec animations, contenus pédagogiques et mise en lumière des actions RSE internes. Un vrai moment de cohésion.

Invitez des voix engagées et inspirantes

Pour renforcer vos événements, misez sur des partenaires engagés. Gobilab, par exemple, intervient en entreprise pour parler éco-conception, fabrication française et transition. Une équipe à impact, parfaite pour prolonger une Fresque ou un atelier 2 Tonnes avec du concret.Gobi – gourdes et accompagnement écogestes

Les écogestes qui changent le quotidien

Pas besoin de révolution. Parfois, ce sont les petits gestes qui ancrent les grands changements :

  • Remplacer les gobelets jetables par des contenants durables.
  • Trier les déchets, tout simplement.
  • Couper lumières et ordis en partant.
  • Pratiquer la sobriété numérique.
  • Encourager la mobilité douce ou le télétravail.

Le tout soutenu par une communication claire, régulière, engageante. Et pourquoi pas des défis pour rendre ça vivant ?

Hyssop, votre allié RSE

Vous voulez structurer votre démarche ? On est là pour ça. Hyssop, c’est :

  • Un diagnostic RSE pour y voir clair.
  • Une stratégie alignée sur vos enjeux.
  • Des plans d’action activables tout de suite.
  • Des ateliers et dispositifs d’engagement pour embarquer vos équipes.
  • Des outils de valorisation pour vos labels, vos reportings, vos parties prenantes.

La RSE, c’est tous les jours

Pas besoin d’attendre le grand soir. Chaque jour compte. Une politique RSE vivante, ce sont des gestes du quotidien, des temps forts bien choisis, et des partenaires avec qui avancer.

Envie de passer à l’action ? On vous y aide. 🌿

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Empreinte écologique : comprendre, réduire, agir

Empreinte écologique : Les français consomment comme… 3 !

Une planète ne suffit plus, il est temps d’agir.

Le Jour du dépassement marque chaque année le moment où l’humanité a consommé toutes les ressources que la planète peut renouveler. Alors que la biodiversité s’effondre, il est temps de relever les manches pour réinventer notre empreinte écologique, en impliquant entreprises, états et citoyens dans cette mission cruciale !

1. Empreinte écologique, biocapacité : décryptons le jargon pour agir !

  • L’Empreinte écologique mesure (en hectares) et compare ce que nous puisons dans la nature avec la capacité de la nature à se régénérer. Cela inclut les terres agricoles, les pâturages, les zones forestières, les zones de pêche et les surfaces urbanisées.

En gros : nos consommations empêchent-elles la biodiversité de se régénérer ? Puise-t-on trop dans ses ressources, au point de mettre en danger ses productions futures ? Et bien sans surprise : la réponse est oui.

L’alimentation est la principale cause de cette empreinte écologique (30%), suivi par le logement (22%) et les services (19%). Les marchandises et la mobilité (15% chacun) complètent le camembert.

  • La biocapacité, quant à elle, est la capacité des écosystèmes à nous fournir tout ça… et là aussi, le compte n’y est pas. En moyenne, on consomme 1,7 planète Terre par an. En France ? Presque 3 Terres !

Elle est différente pour chaque pays, mais lors du calcul du Jour du dépassement, l’empreinte écologique de chaque pays est comparée à la biocapacité moyenne mondiale (1,6Ha).

👉 Chaque Français utilise en moyenne 4,5 hectares de ressources, soit bien au-dessus des 1,6 hectares disponibles par habitant au niveau mondial .

2. Jour du dépassement : une course effrénée vers le mur

C’est quoi ? Ce fameux « Earth Overshoot Day » symbolise le jour où l’humanité a vidé son « compte nature » annuel. En 2024, il est tombé le 1 août. Et chez nous ? Dès le 7 mai. Oui, en plein printemps, on avait déjà grillé nos ressources .

Petit match écolo :

  • France : Dépassement le 7 mai.
  • États-Unis : Le 14 mars, dans le peloton de tête. Si tout le monde faisait comme eux, il faudrait 5,1 planètes.
  • Qatar : Le 11 février, les tristes champions, c’est eux. Si tout le monde faisait comme eux… il vaut mieux ne pas imaginer…
  • L’Inde (et une cinquantaine d’autres) : Ne sont pas concernés et sont encore dans le vert à la fin de l’année. Si tout le monde faisait comme eux, la Terre se régénérerait tranquillement.

3. Entreprises : Des leviers d’action indispensables

À vos marques, prêts… transformez-vous ! Les entreprises, grandes consommatrices de ressources naturelles, sont à la croisée des chemins. Leur responsabilité est immense, mais leur potentiel pour renverser la vapeur l’est tout autant.

  • Repenser les chaînes d’approvisionnement : Fini l’épuisement des sols et la déforestation pour des produits comme le soja ou l’huile de palme. Des approvisionnements locaux, respectueux des écosystèmes, permettent de limiter l’empreinte écologique tout en renforçant les territoires.
  • Innover dans les produits et services : L’éco-conception, qui privilégie les matériaux durables et les cycles courts, est une tendance clé pour réduire les déchets. Exemple ? Des emballages biodégradables ou réutilisables, comme le propose de plus en plus l’industrie cosmétique.
  • Collaborer avec des ONG et des experts locaux : Restaurer les écosystèmes n’est pas qu’un acte philanthropique, c’est un investissement d’avenir. Une biodiversité en bonne santé garantit des matières premières de qualité et des services écosystémiques cruciaux (pollinisation, qualité des sols).

Enfin, il est crucial de se rappeler que les consommateurs, vos salariés et vos investisseurs demandent de la transparence. Un engagement clair et mesurable renforce votre crédibilité et votre compétitivité.

👉 Plus de 50 % du PIB mondial dépend directement des services écosystémiques. Miser sur la biodiversité, c’est investir dans la pérennité économique .

4. France vs le reste du monde : Que fait-on ?

La France, un paradoxe en marche :

  • Avec sa richesse écologique, l’Hexagone est une star de la biodiversité. En effet, à elle seule (et avec la grande aide des territoires d’Outre-Mer), la France héberge 10% de la biodiversité mondiale, Avec près de 20 000 espèces endémiques présentes sur ses territoires.
  • Pourtant, elle fait partie des mauvais élèves, ses habitudes de consommation sont de 4,5 hectares par habitant et par an, soit une empreinte écologique 3 fois supérieure à notre biocapacité (1,6 hectare).

5. Solutions pour une planète qui respire

Si le constat est alarmant, les solutions sont à portée de main. Et elles profitent à tous :

  • Alimentation : Réduire les pertes alimentaires (30 % des aliments produits finissent à la poubelle) et consommer local.
  • Énergies : Passer massivement aux énergies renouvelables tout en protégeant les écosystèmes.
  • Actions collectives : Coopérer entre nations, entreprises et citoyens pour des plans ambitieux à 2030.

Vers un nouveau modèle

Le Jour du dépassement nous rappelle que nos choix actuels déterminent l’avenir. Des entreprises innovantes, des citoyens engagés et des gouvernements visionnaires peuvent changer la donne. Et si 2025 devenait l’année où, ensemble, nous décidons d’offrir un souffle nouveau à la biodiversité et à notre planète ?

À vous de jouer : consommez moins mais mieux, soutenez des initiatives responsables, et exigez des comptes à vos collaborateurs. L’avenir se construit aujourd’hui, et chacun a sa pierre à apporter au grand édifice de cette transition. 🌍

Hyssop, à vos côtés pour repenser votre empreinte écologique

Cabinet de conseil en RSE, Hyssop accompagne les entreprises dans la réduction concrète de leur impact environnemental. Diagnostic d’empreinte écologique, stratégie climat, achats responsables, mobilisation interne… nous vous aidons à transformer les contraintes écologiques en leviers de performance et d’innovation.

📩 Envie d’agir concrètement ? Contactez-nous pour co-construire votre feuille de route.

 

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économie circulaire

Économie circulaire : 7 exemples d’entreprises qui l’appliquent déjà

économie circulaire

L’économie circulaire, ça existe déjà (et c’est du concret)

La théorie, c’est bien. La pratique, c’est mieux.

On parle souvent d’économie circulaire comme d’une grande ambition. Mais en réalité, elle est déjà là. Au coin de la rue, dans vos supermarchés, sur vos étagères. À l’opposé de l’économie linéaire, l’économie circulaire se vit et se teste dans tous les secteurs. Et surtout, elle fonctionne. La preuve par 7 : voici un tour d’horizon inspirant, avec des exemples pilier par pilier.

Et si on arrêtait de jeter les bonnes idées ?

Certaines entreprises ont compris que leur chaîne d’approvisionnement n’était pas qu’un poste de coût, mais un levier de résilience. Jeff de Bruges, par exemple, a investi dans sa propre plantation de cacao en Équateur pour garantir des conditions durables et stabiliser ses ressources. Il y a mis en place une agriculture durable qui suit les principes de Rainforest alliance. Loin d’un caprice exotique, c’est une réponse à la volatilité des marchés agricoles et à l’exigence croissante des consommateurs.

Chez IKEA, l’économie circulaire commence dès la planche à dessin. L’enseigne suédoise mise sur l’écoconception, intégrant des matériaux recyclés (plus de 500 000 tonnes de matériaux recyclés utilisés dans ses produits en 2020) et économisant des millions sur les coûts de matière. Bonus : un meilleur score carbone et une image de marque béton.

Penser collectif, agir local

À Kalundborg, au Danemark, des entreprises ont compris que leurs déchets pouvaient chauffer les serres du voisin ou alimenter une autre usine. C’est ça, l’écologie industrielle : un jeu de Lego à l’échelle d’un territoire, où chacun est une pièce utile à l’autre.

Et si on étendait ce raisonnement au produit lui-même ? Michelin a décidé de ne plus vendre des pneus, mais de les louer. Résultat : des pneus mieux entretenus, plus durables (ils durent 2,5 fois plus longtemps), et des clients fidèles. Une belle démonstration d’économie de la fonctionnalité.

Et le consommateur dans tout ça ?

L’économie circulaire, ce n’est pas que l’affaire des marques. C’est aussi celle de leurs clients. Encore faut-il leur tendre la main. Burger King, par exemple, propose des emballages réutilisables consignés (en partenariat avec l’entreprise TerraCycle) : l’enseigne ne vend plus un gobelet, elle invite à le rapporter.


Chez Darty, la réparation est devenue un réflexe (et un business). Loin des clichés du SAV poussiéreux, l’enseigne offre un service à domicile, valorise les produits reconditionnés et fidélise intelligemment sa clientèle. L’entreprise compte un total d’environ 20 000 produits reconditionnés vendus.

Le rebut, nouvelle ressource

Enfin, certaines entreprises n’ont pas peur de se salir les mains dans les déchets. SAPTE, acteur de la plasturgie, réinvente l’emballage automobile en intégrant jusqu’à 100 % de matière recyclée dans ses packagings. L’économie circulaire, ici, c’est de l’innovation au kilo — ou plutôt à la tonne : 3 190 tonnes de plastique revalorisé par an.

C’est pas demain, c’est déjà là

Ces exemples nous rappellent une chose : on n’attend pas l’économie circulaire, on la construit. Elle ne relève pas d’une utopie verte ou d’un gadget RSE, mais d’une vraie stratégie d’entreprise. La preuve ? Ceux qui osent déjà le font… et s’en sortent mieux.

🌿 Vous aussi, vous avez sûrement des boucles à boucler.

Chez Hyssop, cabinet de conseil en RSE, on aide les entreprises à repérer leurs leviers circulaires, à structurer leurs projets, et à les raconter avec sens.

👉 Découvrez nos expertises de cabinet de conseil en économie circulaire

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risques opportunités biodiversité

Biodiversité : transformer les risques en opportunités pour l’entreprise

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Biodiversité : transformer les risques en opportunités pour l’entreprise

Résilience, innovation, compétitivité : tout commence par le vivant.

Entre menaces d’effondrement et actions différenciantes, la biodiversité s’impose comme la nouvelle plaque tournante de la responsabilité sociétale (et surtout environnementale) des entreprises. Transformer les contraintes écologiques en choix stratégiques, c’est le défi à relever pour préserver la nature… et pérenniser les activités. Prêts à jouer la carte verte ? 🌱

Une somme d’opportunités pour les entreprises

La protection de la biodiversité offre de multiples leviers pour innover, sécuriser ses approvisionnements et renforcer sa compétitivité. Voici comment :

1. Valoriser l’image de l’entreprise et fidéliser les clients

Aujourd’hui, 90 % des consommateurs déclarent attendre des entreprises qu’elles s’engagent pour la planète. Miser sur des actions concrètes pour la biodiversité est un excellent moyen de se différencier. C’est aussi répondre à une demande croissante de transparence et de preuves tangibles d’engagement.

Exemple : les marques qui développent des produits certifiés respectueux de la nature, comme des matières issues de l’agriculture régénérative, gagnent en crédibilité et fidélisent leurs clients.

2. Innover et créer de la valeur grâce aux solutions basées sur la nature

La nature est une source inépuisable d’inspiration pour l’innovation. Le biomimétisme, qui s’inspire des écosystèmes pour développer des solutions technologiques et industrielles, en est un excellent exemple.

Chiffre clé : le biomimétisme pourrait générer jusqu’à 1 600 milliards de dollars de valeur économique d’ici 2030 .

Exemple : les entreprises utilisent des matériaux naturels pour réduire leur empreinte carbone ou créer des produits plus performants (comme des textiles inspirés des propriétés des toiles d’araignées).

3. Sécuriser le sourcing et trouver des matières premières plus résilientes

L’effondrement des écosystèmes met en péril l’approvisionnement en matières premières. Prendre en compte la biodiversité permet :

D’anticiper les ruptures d’approvisionnement, notamment agricoles (pollinisation, fertilité des sols).

D’identifier des ressources alternatives plus résilientes aux crises climatiques ou économiques.

Exemple : face à la disparition des abeilles, certaines entreprises investissent dans la protection des pollinisateurs ou explorent d’autres méthodes naturelles de fertilisation.

4. Fidéliser la supply chain et les partenaires locaux

En intégrant des critères de biodiversité dans leur politique d’achats, les entreprises peuvent embarquer leurs fournisseurs et renforcer des relations solides basées sur des valeurs communes.

Action concrète : des entreprises comme LVMH engagent leurs partenaires agricoles dans des pratiques durables pour sécuriser leurs approvisionnements en matières premières telles que le coton ou les fleurs pour la parfumerie.

5. Obtenir un avantage compétitif et conquérir de nouveaux marchés

Les entreprises qui innovent pour réduire leur impact écologique gagnent un avantage compétitif. Les solutions respectueuses de la biodiversité leur ouvrent des portes sur de nouveaux marchés internationaux.

Exemple : Les labels comme « Biodiversity-Friendly » ou « Agriculture Régénérative » séduisent les investisseurs et les consommateurs de pays exigeants en matière d’environnement.

6. Mobiliser les collaborateurs autour d’une cause universelle

La biodiversité est un sujet universel qui résonne auprès des collaborateurs. 72 % des salariés souhaitent travailler pour une entreprise engagée. Mettre en place des actions concrètes autour de la nature (projets de reforestation, fermes urbaines, jardins collaboratifs) renforce la motivation et l’engagement des équipes.

Biodiversité : un atout stratégique pour réduire les risques

1. Réduction des risques financiers


Les entreprises qui ne prennent pas en compte leur impact sur la nature s’exposent à des coûts croissants. De plus, les investisseurs scrutent de plus en plus les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance).

Le piège : une négligence dans la gestion des risques liés à la biodiversité peut limiter l’accès aux financements et faire fuir les investisseurs.

🎯 Exemple concret : adopter des pratiques agroécologiques permet de maintenir des rendements et d’éviter des dépenses imprévues en intrants chimiques.

2. Anticipation des risques juridiques et réglementaires


La réglementation autour de la biodiversité évolue rapidement. Entre la directive CSRD et les engagements internationaux comme ceux de la COP15 (restaurer 30 % des écosystèmes d’ici 2030), ignorer ces obligations expose les entreprises à des sanctions financières ou à une crise d’image.

  • Message clé : soyez proactif(ve) et adaptez-vous avant d’y être contraint(e).
  • 🌍 Point de vigilance : Les réglementations actuelles ne sont qu’un début ; s’aligner dès maintenant, c’est anticiper des contraintes futures.

3. Des risques opérationnels sous-estimés


La biodiversité agit comme un filet de sécurité pour vos activités. Quand un écosystème est dégradé, ce sont vos processus qui en pâtissent. Par exemple, l’érosion des sols agricoles, due à des pratiques intensives, réduit les rendements tout en augmentant la dépendance aux engrais chimiques.

  • 🎯 Exemple édifiant : des entreprises se tournent vers des pratiques agroforestières pour régénérer leurs terres tout en renforçant la résilience face aux crises climatiques.

Biodiversité : des clés pour passer à l’action

Pour transformer un défi en opportunité, quelques étapes essentielles :

  1. Diagnostiquer son impact : identifiez comment vos activités influencent la biodiversité, que ce soit en amont (supply chain) ou en aval (produits finis).
  2. Fixer des objectifs clairs et mesurables : inspirez-vous des standards internationaux comme le Cadre Mondial pour la Biodiversité.
  3. Miser sur des solutions nature-based : les solutions fondées sur la nature ne sont pas qu’une mode, elles s’imposent comme des réponses pérennes et innovantes.
  4. Former et sensibiliser : impliquez vos collaborateurs et vos partenaires pour embarquer tout le monde dans l’aventure.
  5. Communiquer vos actions : les consommateurs attendent de la transparence. Faites de vos initiatives biodiversité un levier de différenciation.

Faites de la biodiversité un levier stratégique

La biodiversité est bien plus qu’une contrainte : elle est une source de résilience, d’innovation et d’avantages compétitifs. Les entreprises qui sauront transformer cet enjeu en opportunité créeront non seulement de la valeur pour elles-mêmes, mais aussi pour les générations futures. Car protéger la nature, c’est aussi assurer sa pérennité économique.
Alors, prêt(e) à en faire votre meilleure alliée ? 🌿

 

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Nous accompagnons les entreprises à structurer, de façon ambitieuse mais réaliste, l’allègement de leur impact sur la biodiversité, à travers une Roadmap sur-mesureExpertises.

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CSRD gouvernance

CSRD : le rôle clé des directions générales dans la gouvernance durable

CSRD gouvernance

CSRD : le rôle clé des directions générales dans la gouvernance durable

Leadership, gouvernance, transformation : pourquoi la CSRD impose un nouveau cap stratégique aux plus hautes instances.

La CSRD, c’est l’heure du grand ménage pour les entreprises : finies les approximations, adieu le greenwashing. Place à la rigueur, à la transparence… et à une gouvernance durable bien assumée.
Mais pour que cette transformation dépasse la case « obligation », il faut un cap clair, une impulsion forte — celle des directions générales. Intégrer la CSRD, ce n’est pas juste une histoire de conformité, c’est repenser la gouvernance et mobiliser l’ensemble de l’organisation.
Alors, pourquoi (et comment) les DG doivent-elles prendre le leadership ? Décryptage.

Un signal fort : la direction générale en première ligne

Avec la CSRD, la durabilité ne se limite plus à des discours.
Elle impose un reporting extra-financier aussi rigoureux qu’un bilan comptable.
Résultat : 67 % des entreprises placent leur direction générale à la tête du chantier CSRD.

Cette implication envoie un message fort : la CSRD n’est pas une tâche administrative, c’est un projet stratégique d’entreprise.
Pour réussir, les DG doivent :

  • Donner un cap stratégique clair.
  • Allouer des ressources (humaines, techniques, financières).
  • Aligner tous les départements : RSE, finance, IT, RH, juridique, etc.

Le rôle de la direction ? Créer une vision, lever les freins et embarquer l’ensemble de l’organisation dans cette transformation ESG.

Une mobilisation transversale pour réussir la CSRD

La CSRD ne concerne pas uniquement la RSE. Elle exige une coordination transversale orchestrée par la direction générale.
Aujourd’hui, 40 % des entreprises mobilisent l’équivalent d’un à deux temps plein pour piloter le projet.

Les leviers à activer :

  • Aligner la RSE et la finance : pour fiabiliser les données et structurer les indicateurs ESG.
  • Impliquer les opérationnels et l’IT : collecte, traitement, automatisation des flux.
  • Créer un comité de pilotage CSRD dirigé par la DG : pour suivre, ajuster et décloisonner.

🎯 Exemple : Chez Orange, la DG a mutualisé les systèmes RSE et financiers, garantissant une meilleure cohérence des données — preuve qu’un reporting intelligent peut aussi générer des synergies internes puissantes.

Des outils et ressources à la hauteur des enjeux ESG

84 % des entreprises estiment que leurs outils actuels sont insuffisants face aux exigences de la CSRD.
Pourquoi ? Parce que la gestion des données ESG est dense, dispersée, technique.

La direction générale doit :

  • Investir dans des solutions digitales robustes (collecte, visualisation, auditabilité).
  • Former les équipes à ces nouveaux outils.
  • Assurer l’interopérabilité entre RSE, finance et IT.

💡 Une architecture bien pensée évite les doublons, limite les erreurs et valorise la donnée comme actif stratégique.

Les 5 clés pour un leadership CSRD réussi

Pour transformer cette obligation en levier, les DG doivent activer ces 5 piliers :

  1. Fixer une vision claire et ambitieuse
    Faire de la CSRD un moteur stratégique, pas un simple reporting.
  2. Créer une gouvernance dédiée

    Un comité de pilotage transversal, incarné par la direction.
  3. Allouer les ressources nécessaires

    Outils, compétences, temps : tout compte.
  4. Former et embarquer les collaborateurs

    Une culture ESG solide passe par la pédagogie et l’engagement.
  5. Célébrer les réussites

    Valoriser les progrès, maintenir la dynamique, partager les résultats.

DG, prenez le cap d’un futur durable

La CSRD bouscule les habitudes, mais offre aussi une formidable opportunité de transformation.
Les DG ont la capacité de structurer un modèle de gouvernance aligné avec les enjeux ESG, résilient, et créateur de valeur.

📌 67 % des entreprises ont déjà placé leur direction générale au cœur du projet. Et vous ?

Le conseil stratégique pour les DG qui veulent avancer

Chez Hyssop, on vous accompagne pour faire de la CSRD un levier stratégique piloté par votre direction générale.
Notre approche : sérieuse, sur mesure, et sans jargon.

🔧 Ce que l’on fait avec vous :

  • Diagnostic de gouvernance durable
  • Structuration des comités de pilotage
  • Traduction des normes ESRS en feuille de route claire
  • Formation de vos équipes dirigeantes
  • Refonte des outils de reporting et gestion de la donnée ESG

🎯 hyssop.agency – Vous pilotez, on clarifie. Ensemble, on transforme.

 

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Économie circulaire : définition et 7 piliers pour les entreprises

L’économie circulaire : en vrai, c’est quoi ?

Moins de gaspillage, plus de bon sens (et de valeur)

« On ne jette plus, on réinvente. »
L’économie circulaire, ce n’est pas juste une boucle, c’est une révolution dans notre manière de produire, de consommer… et de penser l’entreprise.Face à l’épuisement des ressources, à l’urgence climatique et aux attentes des consommateurs, il devient urgent de sortir du vieux modèle “extraire – produire – consommer – jeter”. Et ça tombe bien : l’économie circulaire est là pour le remplacer. Mais concrètement, c’est quoi ? Et pourquoi devriez-vous vous y mettre (si ce n’est pas déjà fait) ?

L’économie circulaire, définition simple pour esprit affûté

L’économie circulaire est un modèle économique qui vise à produire durablement dans les limites planétaires. Elle prend en compte toutes les interactions entre ressources, entreprises, environnement et consommateurs, et cherche à optimiser leur impact tout au long du cycle de vie des produits ou services.

Objectif : Réduire l’usage des ressources, éviter le gaspillage, allonger la durée de vie des produits… tout en maintenant (voire en augmentant) la valeur économique.

💡 C’est un modèle en boucle, où les déchets deviennent ressources, où les usages remplacent la possession, où les produits sont pensés pour durer (et non pour être remplacés).

Pourquoi l’économie circulaire est plus qu’une bonne idée

Chiffres à méditer (et à activer) :

  • -70 % d’émissions de gaz à effet de serre grâce à l’économie circulaire, si elle est pleinement mise en œuvre (Fondation Ellen MacArthur)
  • 4 500 milliards de dollars de valeur économique possible d’ici 2030 (OCDE)
  • 500 000 emplois créés en France d’ici 2030 dans le secteur du réemploi et de la réparation (ADEME)
  • … mais aussi un recul de la circularité mondiale : seulement 7,2 % en 2023, contre 9,1 % en 2018 (Circularity Gap)

Autrement dit : on sait que ça fonctionne, mais il y a encore beaucoup à faire.

Les 7 piliers de l’économie circulaire (et on va les explorer ensemble)

L’économie circulaire ne se limite pas au recyclage. Elle repose sur 7 piliers complémentaires, qui interviennent à toutes les étapes du cycle de vie d’un produit ou service :

  1. Approvisionnement durable

    → Choisir des matières premières avec un impact environnemental et social réduit.
  2. Écoconception
    → Réduire l’impact d’un produit dès sa conception, sur tout son cycle de vie.
  3. Écologie industrielle et territoriale

    → Mutualiser les ressources, infrastructures et déchets à l’échelle d’un territoire.
  4. Économie de la fonctionnalité

    → Vendre un usage plutôt qu’un objet (location, abonnement, service…).
  5. Consommation responsable

    → Inciter à des pratiques d’achat et d’utilisation plus durables et sobres.
  6. Allongement de la durée d’usage

    → Réparation, seconde main, reconditionnement, don… tout est bon pour faire durer.
  7. Recyclage
    → Valoriser les déchets en matières premières secondaires pour boucler la boucle.

🔜 Spoiler alert : chaque pilier fera l’objet d’un article dédié, avec des exemples inspirants, des questions à se poser, et des leviers concrets à activer dans votre entreprise.

L’économie circulaire : pour qui, pourquoi, comment ?

Ce modèle s’adresse à toutes les entreprises, qu’elles soient dans l’industrie, le service, la mode, l’alimentaire ou l’électronique. Et il peut transformer :

  • Vos produits (plus durables, mieux conçus, plus désirables)
  • Vos process (plus efficients, plus sobres)
  • Votre relation client (plus engageante, plus responsable)
  • Et surtout… votre modèle économique

👉 Et si vous commenciez à vous poser les bonnes questions ?

  • Quels sont les points de friction ou de gaspillage dans mon modèle actuel ?
  • Qu’est-ce qui pourrait être mutualisé, réparé, loué ou repensé ?
  • Qui, dans mon écosystème, pourrait m’aider à faire mieux avec moins ?

La circularité, c’est pas du recyclage… c’est une stratégie

L’économie circulaire n’est pas une lubie verte ou un gadget de RSE.
C’est un levier stratégique pour bâtir des entreprises plus résilientes, plus efficientes, plus alignées avec les attentes sociétales et réglementaires. Et accessoirement, plus crédibles auprès de leurs clients et partenaires.

Alors… on tourne en rond ? Oui, mais dans le bon sens 🔄

🌿 Envie d’en faire un levier pour votre business ?

Chez Hyssop, on vous accompagne pour passer de l’idée à l’action :

  • Diagnostic de circularité
  • Définition de stratégie durable
  • Accompagnement RSE & design circulaire

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Comment les pollutions détruisent la biodiversité – et comment agir

De l’air aux océans : comment les pollutions détruisent les écosystèmes

Les pollutions, menaces invisibles, impacts bien réels sur la biodiversité.

Les pollutions, invisibles mais omniprésentes, constituent une menace majeure pour la biodiversité. Qu’elles soient chimiques, plastiques ou atmosphériques, elles fragilisent les écosystèmes, perturbent les espèces et impactent notre santé. Face à cette urgence, agir devient impératif pour préserver la nature.

Les différentes formes de pollution et leurs impacts sur la biodiversité

La pollution chimique : le venin invisible

Origine : Substances chimiques issues de l’agriculture (pesticides, herbicides, engrais), des industries (métaux lourds, solvants) et des ménages (produits d’entretien, médicaments).

Impacts :

  • Contamination des sols et des eaux : Les pesticides affectent les invertébrés du sol, les pollinisateurs comme les abeilles et les organismes aquatiques. La moitié des sols agricoles européens sont contaminés.
  • Bioaccumulation et bioamplification : Les métaux lourds comme le mercure s’accumulent dans les tissus des poissons, puis dans la chaîne alimentaire. Résultat : une menace directe pour les humains.
  • Perturbateurs endocriniens : Ces substances affectent la reproduction et le développement des espèces aquatiques (poissons, amphibiens) et entraînent des malformations.

La pollution plastique : l’envahisseur qui dure

Chaque année, 12 millions de tonnes de plastique finissent dans les océans.

Impacts :

  • Microplastiques : présents dans l’eau et les sols, ils sont absorbés par les poissons et finissent dans nos assiettes.
  • Effet d’étranglement : filets de pêche abandonnés, sacs plastiques étranglent mammifères marins, oiseaux et tortues.
  • Persistance : Le plastique prend des centaines d’années à se décomposer, contribuant à une pollution chronique.

La pollution atmosphérique : toxique à tous les niveaux

Origine : transports, industries, combustion d’énergies fossiles.

Impacts :

  • Acidification des sols et des eaux : Les pluies acides nuisent aux forêts et aux lacs.
  • Effet sur les plantes : L’ozone troposphérique altère la photosynthèse.
  • Espèces sensibles : lichens et amphibiens disparaissent des zones polluées.

Pollution sonore et lumineuse : quand la nature perd ses repères

Origine : Bruits industriels, transports, éclairage excessif.

Impacts :

  • Désorientation des oiseaux migrateurs et tortues marines.
  • Stress des mammifères marins perturbés par les sons sous-marins.

La pollution thermique : la chaleur de trop

Origine : Rejets d’eaux chaudes des centrales.

Impacts :

  • Réchauffement des cours d’eau, baisse de l’oxygène dissous.
  • Espèces comme les saumons en danger.

Conséquences : des écosystèmes fragilisés et une biodiversité menacée

  • Perte d’habitats naturels.
  • Altération des chaînes alimentaires.
  • Réduction de la résilience des écosystèmes.

Des écosystèmes en danger : des exemples concrets

  • 7ème continent de plastique : aussi grand que l’Europe.
  • Récifs coralliens : 50 % déjà disparus.
  • Zones mortes : plus de 700 dans le monde.

Solutions pour limiter les pollutions : des actions urgentes

Agir sur les causes

  • Réduction des plastiques à usage unique
  • Réglementation des produits chimiques
  • Transition vers les énergies renouvelables

Technologie et innovation

  • Matériaux biodégradables
  • Phytoremédiation

Sensibilisation et engagement

  • Implication des entreprises
  • Mobilisation citoyenne

Entreprises : Pourquoi agir contre les pollutions ?

  • Responsabilité sociétale : 70 % des consommateurs attendent des engagements.
  • Avantages compétitifs : anticipation réglementaire.
  • Sécurité des approvisionnements : préserver les écosystèmes, c’est préserver les ressources.

Actions recommandées

  • Réaliser un Roadmap Biodiversité
  • Limiter les rejets et favoriser l’écoconception
  • Financer des projets locaux de dépollution

Une opportunité collective pour préserver la biodiversité

Les pollutions, bien qu’invisibles, sont au cœur de l’érosion de la biodiversité. Des solutions existent, mais elles exigent une mobilisation collective. Les entreprises, grâce à leur pouvoir d’innovation et d’action, ont un rôle essentiel à jouer. Ensemble, faisons de la lutte contre les pollutions une opportunité de transition vers un avenir durable.

🌿 Chez Hyssop, nous accompagnons les entreprises dans l’identification et la réduction de leurs pollutions, grâce à une feuille de route biodiversité sur mesure.
Diagnostic, stratégie, formations : contactez-nous pour agir concrètement.

 

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CSRD : pourquoi un accompagnement sur mesure fait toute la différence

CSRD : pourquoi un accompagnement sur mesure change la donne pour votre reporting durable

Transformez vos obligations réglementaires en opportunités stratégiques grâce à un accompagnement expert et structuré.

La CSRD, bien plus qu’une directive

La CSRD n’est pas un simple ajout réglementaire : c’est un changement de paradigme pour les entreprises européennes. Elle impose des exigences accrues en matière de transparence, de gouvernance et de responsabilité. Concrètement, cela signifie qu’il ne s’agit plus seulement de déclarer ses engagements RSE, mais de les prouver, en structurant un reporting rigoureux, conforme aux normes ESRS et fondé sur une analyse précise de la double matérialité.
Un exercice complexe… mais loin d’être une fatalité. Avec le bon accompagnement, la CSRD peut devenir une véritable boussole stratégique.

CSRD et complexité : une opportunité à bien maîtriser

La CSRD a pour objectif d’harmoniser les standards de reporting extra-financier au niveau européen. Son ambition est claire : intégrer la durabilité au cœur des décisions d’entreprise. Pour cela, elle impose :

  • Une collecte de données exhaustive : chaque impact doit être mesuré et documenté, souvent à partir de sources multiples et fragmentées.
  • Un reporting aligné sur les ESRS : les European Sustainability Reporting Standards couvrent des thématiques précises et complexes (climat, droits humains, biodiversité, etc.).
  • Une stratégie de durabilité intégrée : il ne suffit pas de publier un rapport, il faut démontrer une dynamique d’amélioration continue.

Les défis clés de la mise en conformité CSRD

1. Comprendre les exigences de la directive

Traduire les normes techniques en actions concrètes pour votre organisation exige expertise et clarté. Sans accompagnement, beaucoup d’entreprises s’y perdent.

2. Réaliser l’analyse de double matérialité

Cette étape stratégique impose de croiser deux visions :

Les impacts de l’entreprise sur la société et l’environnement.

Les risques que ces enjeux font peser sur la performance financière.
Un exercice pointu qui demande méthode et objectivité.

3. Collecter et structurer des données fiables

Données RH, environnementales, fournisseurs, gouvernance… Le défi est de fiabiliser des données multiples et souvent éparpillées, pour garantir un reporting crédible et cohérent.

Pourquoi un accompagnement sur mesure est essentiel

Un accompagnement expert permet de gagner du temps, d’éviter les erreurs et de transformer un exercice complexe en levier stratégique.
Chez Hyssop Agency, nous intervenons à toutes les étapes :

  • Formation des équipes : pour comprendre les enjeux et intégrer la CSRD dans les pratiques quotidiennes.
  • Audit et structuration des données : afin d’assurer fiabilité, cohérence et traçabilité.
  • Déploiement d’actions concrètes : pour passer du reporting à la transformation réelle.

Notre approche : méthode, rigueur et impact

1. Diagnostic personnalisé

Nous commençons par une analyse approfondie de vos enjeux, de votre chaîne de valeur et de votre niveau de maturité RSE. Cela nous permet d’identifier les leviers prioritaires et de vous proposer un plan d’action adapté.

2. Traduction opérationnelle de la directive

Notre mission : rendre la CSRD intelligible, applicable et mobilisatrice. Nous transformons chaque exigence en étape claire, structurée, avec des outils concrets à la clé.

3. Valorisation stratégique

Notre accompagnement va au-delà de la conformité : nous vous aidons à identifier des opportunités d’innovation, à renforcer votre image de marque et à structurer votre stratégie durable.

Les bénéfices d’un accompagnement expert CSRD

  • Réduction des risques : en évitant les erreurs de conformité ou les oublis réglementaires.
  • Renforcement de la réputation : un reporting crédible valorise vos engagements.
  • Gain de temps et de ressources : vos équipes se concentrent sur l’essentiel.
  • Création de valeur : les données collectées nourrissent vos plans d’actions, vos décisions stratégiques, vos échanges avec les parties prenantes.

Votre conformité, notre priorité

La CSRD est exigeante, mais elle ouvre aussi une nouvelle ère de transparence et d’engagement. Avec Hyssop, vous ne subissez pas la complexité réglementaire : vous l’utilisez comme levier de transformation.
Notre accompagnement est conçu pour vous guider pas à pas, sans jargon inutile, avec méthode et impact.

👉 Engagez-vous sans vous perdre

Chez Hyssop, on ne fait pas du reporting pour le reporting. On transforme vos données en décisions, vos obligations en actions, et vos actions en preuves.
Notre accompagnement CSRD, c’est :

  • Un diagnostic complet de vos enjeux
  • La traduction des ESRS en actions concrètes
  • L’animation de vos équipes autour d’une feuille de route claire
  • Un reporting conforme, utile et stratégique

📩 Contactez-nous sur hyssop.agency pour faire de votre conformité un atout durable.

 

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Pourquoi il est temps de tourner en rond

D’une économie linéaire à une économie circulaire

Pourquoi il est temps de tourner rond

Notre modèle actuel repose encore trop souvent sur une économie linéaire : extraire, produire, consommer, jeter. Une logique dépassée qui épuise les ressources et multiplie les déchets.
Face à ce constat, l’économie circulaire offre une réponse pleine de sens : faire mieux avec moins, transformer les déchets en ressources, allonger la durée de vie des produits.
Plus qu’un simple concept, l’économie circulaire invite à repenser nos modèles pour sortir enfin des limites de l’économie linéaire.

L’économie linéaire : un modèle qui touche à sa fin

Vous connaissez la rengaine : extraire, produire, consommer, jeter. C’est le modèle de l’économie linéaire, et il a longtemps servi nos ambitions productivistes. Sauf que… ça coince. Ressources en berne, déchets en vrac, climat en crise.
Chiffre à retenir : plus de 90 % des matériaux sont gaspillés ou perdus chaque année¹.
Et si on changeait de disque (durable) ? L’économie circulaire vient challenger ce modèle périmé.
Objectif : transformer chaque étape de la chaîne de valeur pour faire mieux avec moins.

Pourquoi quitter l’économie linéaire ? Les bonnes raisons ne manquent pas

Pour répondre à une urgence planétaire
Le gaspillage systémique de l’économie linéaire met la planète à bout de souffle.

Pour anticiper les tensions économiques
Hausse des prix des matières premières, dépendance stratégique… Le linéaire devient risqué.

Parce que vos clients, collaborateurs et investisseurs l’attendent
La demande de transparence, de preuve d’engagement et de sens ne cesse de croître.

Parce que la réglementation vous y pousse

De la loi AGEC à la CSRD, les exigences se multiplient : mieux vaut prendre le virage que le mur.


Chiffre clé : l’Union Européenne a identifié 27 matières premières critiques. 20 % d’entre elles finissent… en déchets.

L’économie circulaire, c’est quoi en vrai ?

Un modèle économique qui vise à produire et consommer dans les limites planétaires. Comment ? En repensant les produits pour durer, en valorisant les déchets, en privilégiant l’usage plutôt que la possession, et en stimulant la coopération à tous les niveaux.
Chiffre marquant : l’économie circulaire pourrait permettre de réduire de 39 % les émissions mondiales de CO₂². 

Les bénéfices concrets pour votre entreprise

  • Réduction des coûts grâce à la valorisation des invendus et à des process plus sobres
  • Fidélisation client via des services durables (réparation, location, seconde main…)
  • Avantage compétitif avec un modèle plus résilient et innovant
  • Sécurisation du sourcing en réduisant la dépendance aux matières premières vierges

Chiffre clé : Renault a réduit ses coûts de production de 30 % en réutilisant des pièces détachées.

Et si on se posait les bonnes questions ?

  • Quels sont les points de gaspillage dans votre activité ?

  • Peut-on mutualiser des flux avec d’autres acteurs de votre territoire ?

  • Avez-vous identifié des alternatives plus durables à vos matériaux actuels ?

  • Vos clients seraient-ils prêts à louer plutôt qu’acheter ?

Il est temps de boucler la boucle

L’économie circulaire n’est pas une utopie verte. C’est une stratégie business, une réponse concrète aux enjeux environnementaux, sociétaux et économiques. Quitter l’économie linéaire ne veut pas dire faire un pas de côté, mais un pas en avant… circulaire.

🌿 Envie de prendre le virage avec méthode ? Chez Hyssop, on vous accompagne sur toute la trajectoire : stratégie, design circulaire, communication d’engagement.

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La surexploitation des ressources : un modèle insoutenable

La surexploitation des ressources : un modèle insoutenable

Quand la nature s’épuise, notre avenir vacille.

Aujourd’hui, la biodiversité est sérieusement mise en péril, et l’une des principales causes est la surexploitation des ressources naturelles. Un terme un peu technique pour décrire un phénomène très simple : nous utilisons les ressources de la Terre plus vite qu’elles ne peuvent se renouveler. Et ça, c’est un problème majeur pour la biodiversité !

Alors, pourquoi ce phénomène est-il si préoccupant, et surtout, que peut-on faire pour y remédier ? 

1. Surexploitation des ressources : de quoi parle-t-on exactement ?

La surexploitation des ressources naturelles se produit lorsque l’on utilise des éléments essentiels à la vie — eau, terres, forêts, faune, etc. — plus rapidement qu’ils ne peuvent se régénérer naturellement (Jour du dépassement de la Terre). C’est comme si on retirait sans cesse de l’argent de notre compte en banque, mais sans jamais y faire de dépôt. À long terme, le compte est à sec ! Et pour la biodiversité, cela signifie que des habitats sont détruits, des espèces disparaissent et des écosystèmes entiers sont menacés.

2. Les différentes formes de surexploitation : une menace à plusieurs niveaux

La surexploitation prend de nombreuses formes, et chacune a un impact direct sur la biodiversité :

L’agriculture intensive

Des pesticides, des engrais chimiques, une irrigation massive : ces pratiques favorisent une productivité à court terme, mais elles appauvrissent les sols, polluent les eaux et détruisent les habitats. À long terme, elles créent des terres moins fertiles et une biodiversité affaiblie.

La déforestation

Raser des forêts pour le bois, l’agriculture ou l’urbanisation détruit des habitats essentiels. Aujourd’hui, nous perdons environ 10 millions d’hectares de forêt chaque année, soit l’équivalent de la taille de l’Islande.

La pêche excessive

La pêche industrielle dépasse les capacités de régénération des espèces marines. 34 % des stocks mondiaux sont aujourd’hui surexploités, menaçant les poissons et l’ensemble des écosystèmes marins.

L’exploitation minière

La quête de minerais détruit des paysages, pollue les terres et perturbe les équilibres écologiques.

3. L’impact de la surexploitation sur la biodiversité : un écosystème en déséquilibre

Les effets de la surexploitation sont visibles à tous les niveaux :

  • Des habitats détruits : zones humides, récifs coralliens, forêts… Sans habitats sains, la biodiversité ne peut pas survivre.
  • Extinction d’espèces : Certaines espèces, comme les grands prédateurs ou poissons surexploités, sont en voie de disparition.
  • Perturbation des équilibres écologiques : Nos pratiques affectent toute la chaîne alimentaire. Les écosystèmes deviennent plus vulnérables face au changement climatique.

4. Aux origines de la surexploitation, un système à bout de souffle

Pratiques non durables

L’agriculture, la pêche ou l’extraction minière ne tiennent pas toujours compte des capacités de régénération de la nature.

Absence de régulation stricte

Sans contrôles suffisants, la surexploitation prospère, même là où des lois existent.

Consommation croissante

Notre modèle économique repose encore trop sur la croissance infinie. Mais face aux limites planétaires, il est temps de basculer vers des pratiques durables.

5. Quelles solutions pour renverser la tendance ?

Gestion durable des ressources

Il est possible de combiner exploitation et préservation. Agriculture régénérative, gestion forestière durable, pêche responsable… autant d’alternatives efficaces.

Reforestation et protection des écosystèmes

Créer des aires protégées ou restaurer les milieux naturels est indispensable pour renforcer la résilience écologique.

Sensibilisation et éducation

Changer les mentalités passe par la formation. Entreprises, écoles et citoyens ont un rôle clé pour encourager des modèles de consommation responsables.

Ensemble pour la biodiversité et les ressources naturelles

La surexploitation des ressources naturelles est l’un des principaux moteurs de l’érosion de la biodiversité. Mais des solutions durables existent, à tous les niveaux. En reconsidérant nos modes de production, en adoptant des réglementations fortes, et en favorisant l’éducation à la durabilité, il est encore possible de changer la donne.

🌱 La biodiversité dépend des terres et des océans : protéger ces milieux, c’est préserver notre avenir commun. À nous de jouer !

🌿 Besoin d’y voir plus clair pour agir ? Hyssop vous accompagne.Chez Hyssop, on transforme les enjeux environnementaux en plans d’action concrets. De l’analyse de vos impacts à la mise en œuvre de stratégies durables, notre équipe vous guide pas à pas.

  • Diagnostic biodiversité
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  • Accompagnement de vos équipes et de votre chaîne de valeur

👉 Parlons-en ! 

 

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Reporting CSRD : nos meilleurs conseils pour briller durablement

Nos conseils pour cartonner avec votre reporting CSRD

Elle est sur toutes les lèvres (et bientôt sur tous les rapports) : la CSRD ou *Corporate Sustainability Reporting Directive*. Ce cadre ambitieux, lancé en 2022, est bien plus qu’un simple exercice comptable. C’est un GPS durable pour les entreprises européennes, grandes et petites, qui veut aligner stratégie et responsabilité.
Vous pensiez qu’il s’agissait juste de cocher une case pour vos bilans carbone ? Erreur ! La CSRD exige des preuves, pas des promesses, et pousse les entreprises à prouver leurs engagements sociaux et environnementaux.
Le reporting CSRD peut devenir un vrai levier stratégique : encore faut-il être bien conseillé, voici nos meilleurs conseils pour ne pas passer à côté.

La CSRD : un booster stratégique

Bienvenue dans l’ère où transparence rime avec influence. La CSRD harmonise les standards ESG, rendant la comparaison entre entreprises aussi simple qu’un swipe sur une app. Et pour les PME ? Même sans obligation directe, elles y gagnent : être aligné CSRD, c’est se démarquer auprès des clients et investisseurs. Bref, un must pour rester dans la course et fidéliser des clients toujours plus exigeants.

Comment transformer la CSRD en levier de succès ? 

1. Double matérialité : votre point de départ  

La « double matérialité », c’est un peu le cœur du réacteur. Identifiez :

  • Ce que vos activités impactent sur la planète et la société.
  • Ce que ces enjeux vous coûtent (ou rapportent).  

Concentrez-vous sur les priorités : ça évite de vous noyer dans des indicateurs secondaires. Avec cette méthode, chaque action a un vrai poids.

2. Fixez des objectifs concrets  

La CSRD vous donne une feuille de route claire¹. Que ce soit pour réduire vos émissions, renforcer vos chaînes d’approvisionnement ou fidéliser vos talents, avancer par étapes, c’est avancer sûrement.

3. Mobilisez votre équipe !  

Un reporting réussi, c’est un effort collectif. Impliquez chaque service, formez vos collaborateurs et faites du sujet un projet d’entreprise. Résultat ? Motivation au sommet et transformation des métiers à travers une nouvelle grille durable.

Nos conseils pratiques pour un reporting CSRD au top 

1. Planifiez vos ressources  

Anticipation = efficacité. Préparez des budgets dédiés et mobilisez vos équipes en amont.  

2. Formez sans modération  

Plus vos collaborateurs comprennent les enjeux, plus ils s’engagent. Adaptez les formations pour toucher tout le monde, du stagiaire au COMEX.  

3. Jouez collectif  

De vos fournisseurs à vos partenaires, incluez tout votre écosystème dans votre démarche.  

4. Pensez stratégie  

La CSRD n’est pas une corvée administrative, c’est un outil stratégique. Alignez votre reporting avec vos valeurs et vos objectifs long terme.

Plus qu’un coût, un investissement 

Oui, mettre en place la CSRD a un prix. Mais pensez à ce que ça rapporte :  

  • Des financements sécurisés.  
  • Une réputation renforcée.  
  • Une meilleure attractivité pour les talents.  

Chaque euro dépensé pave la voie vers un modèle d’affaires plus résilient et durable.

Adieu greenwashing, bonjour storytelling authentique

Avec la CSRD, vous ne racontez pas d’histoires, vous les prouvez. Chiffres à l’appui, vous gagnez la confiance des consommateurs, investisseurs et salariés. Exit les slogans creux, bonjour l’impact mesuré.  

Prêts à jouer les premiers rôles dans l’économie durable ? 

La CSRD, c’est l’opportunité de transformer des obligations en tremplins. En intégrant ce cadre exigeant à votre stratégie, vous faites bien plus que respecter la loi : vous devenez acteur du changement. Alors, à vos boussoles durables, et cap sur un avenir où engagement rime avec performance !  

🎯 Besoin d’un coup de pouce pour votre reporting CSRD ?

Chez Hyssop, on transforme les normes en tremplins. Diagnostic, analyse de double matérialité, formation des équipes, rédaction de votre rapport… on vous accompagne de A à Z (et même jusqu’au ESRS G1).

💡 Envie de passer à l’action sans y laisser votre énergie ?
Parlez-nous de vos enjeux, on s’occupe du reste (avec rigueur et sourire) 👉 hyssop.agency

 

#ReportingCSRD #RSE #TransitionDurable #ImpactPositif #StratégieResponsable #DoubleMatérialité #EngagementEntreprise #Performancedurable #CommunicationResponsable #HyssopConseil

Envie d’en savoir plus sur la CSRD ou d’être accompagné dans votre démarche?

Contactez Hyssop dès aujourd’hui et faisons de votre reporting un moteur de performance durable.

On explique tout ici

Anti-sèche : découvrez notre cahier pratique CSRD.

Un condensé de méthode, d’outils, et surtout d’enthousiasme pour faire de la CSRD une opportunité d’engager l’entreprise et le collectif dans une vraie démarche de transformation.


Lancement de notre cahier pratique

Lancement de notre cahier pratique : l’économie circulaire, comment faire mieux avec moins ?

Moins de gaspillage, plus d’idées : découvrez notre guide actionnable pour entreprises (et humains pressés).

“Prendre, produire, jeter” ? C’est dépassé.

Dans un monde en tension sur les ressources, les matières, les modèles économiques… il est grand temps de faire tourner la machine autrement. Et c’est exactement ce que propose notre nouveau cahier pratique sur l’économie circulaire.

➡️ Un guide 100 % action, conçu pour les entreprises qui veulent faire leur transition circulaire sans tourner en rond (enfin, pas au sens linéaire du terme).

L’économie circulaire, ce n’est pas que pour les convaincus

Le recyclage, vous connaissez.
Mais l’économie circulaire, c’est un changement complet de perspective : ne plus considérer le déchet comme une fin, mais comme un début. Ne plus consommer pour jeter, mais produire pour durer, réparer, réutiliser, régénérer.

À l’heure où :

  • 500 milliards de tonnes de matériaux ont été consommées en 5 ans (autant qu’en un siècle),
  • 1/3 des aliments sont jetés avant d’avoir nourri qui que ce soit,
  • 68 % des vêtements achetés ne seront jamais portés¹,

… ce modèle linéaire montre clairement ses limites.

Un cahier pratique pour passer à l’action, concrètement

Dans ce nouveau cahier pratique by Hyssop, on vous propose :

  • Une méthodologie claire et adaptée à votre niveau de maturité circulaire
  • Des outils simples à mobiliser (même sans cellule RSE XXL)
  • Des chiffres qui marquent (et qui circulent bien dans vos slides)
  • Des exemples concrets et inspirants, issus de secteurs variés
  • Et un ton accessible, parfois piquant, mais toujours motivant

Que vous soyez dans l’industrie, le textile, l’agro, le retail ou les services… l’économie circulaire peut devenir un vrai moteur stratégique.

Pourquoi un cahier maintenant ?

Parce que le contexte s’y prête plus que jamais :

  • Les ressources naturelles s’épuisent, mais les idées, non.
  • Les matières premières flambent, mais les modèles sobres gagnent en rentabilité.
  • Les réglementations (AGEC, CSRD, REP…) s’intensifient, mais elles peuvent devenir des opportunités d’innovation.
  • Et surtout… les clients en demandent plus. Plus de durabilité, plus de transparence, plus de logique.

L’économie circulaire, ce n’est plus un “nice to have”, c’est une nouvelle normalité à construire dès aujourd’hui.

Ce que vous apprendrez (sans prise de tête)

✅ Ce que l’économie circulaire est (et n’est pas)
✅ Comment démarrer ou continuer à intégrer l’économie circulaire dans votre modèle d’entreprise
✅ Comment elle peut réduire vos coûts tout en augmentant votre impact positif
✅ Comment engager vos équipes sans tout réinventer
✅ Et comment faire de votre démarche une vraie force de différenciation

💬 “Rien ne se perd, rien ne se crée…” disait Lavoisier. Et si on reprenait ce principe pour créer un modèle profitable pour l’entreprise et bon pour la planète ?

Un avant-goût des chiffres qui piquent (et font réfléchir)

  • + de 90 % des matériaux sont gaspillés, perdus ou inaccessibles pendant des années 
  • 70 % des sièges de voiture roulent… à vide 
  • 40 % : la baisse du temps moyen de port d’un vêtement en 15 ans
  • 50 millions de tonnes de déchets électroniques générés chaque année 
  • 3,2 milliards de pièces de textile vendues en France en 2023… pour 68 millions d’habitants 
  • Et pourtant, l’économie circulaire pourrait réduire 39 % des émissions mondiales² 

Ce cahier est fait pour vous si…

✔️ Vous êtes responsable RSE, directeur marketing, dirigeant, ou communicant engagé
✔️ Vous cherchez à transformer votre modèle sans attendre que la planète soit à court de ressources
✔️ Vous aimez quand on vous parle vrai, sans jargon, et avec des solutions pratiques

📥 Téléchargez-le, offrez-le, annotez-le

Notre cahier pratique sur l’économie circulaire est là pour vous simplifier la transition, pas l’alourdir.
🌀 À lire, partager, imprimer, recycler (intellectuellement) ou faire tourner en interne.

👉 Accéder au cahier pratique

#ÉconomieCirculaire #TransitionÉcologique #GreenBusiness #Recyclage #DéveloppementDurable
#InnovationResponsable #RSE #ChangementDeModèle #CahierPratique #HyssopAgency

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Contactez Hyssop dès aujourd’hui pour apprendre à faire mieux avec moins ensemble. 

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Anti-sèche : découvrez notre cahier pratique Économie circulaire.

Un condensé de bases pour commencer, méthodologie, actions concrètes et faciles à activer, des témoignages d’acteurs précurseurs pour que notre monde tourne plus rond.

¹ Circularity-gap.world; ONU; Greenpeace

²  Circularity Gap report, 2023; Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires; ADEME; The Global E-waste Monitor 2017, Quantities, Flows, and Resources; Refashion; Circularity Gap Report)


Hyssop signe EnModeDurable.fr, la plateforme RSE pour une mode responsable

Hyssop signe EnModeDurable.fr, la plateforme RSE pour une mode responsable

La mission : accélérer la transformation écologique du secteur de la mode

Face aux défis environnementaux et sociaux, la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin et la Fédération de la Maille, de la Lingerie et du Balnéaire, avec le soutien du DEFI La Mode de France, ont souhaité créer un outil de référence pour embarquer toutes les marques dans la transition durable du secteur textile.

Trois thématiques clés ont été identifiées pour structurer cette transition :

    • l’éco-conception,
    • l’approvisionnement responsable,
    • et la communication RSE.

Mais comment rendre accessibles ces expertises à toutes les entreprises, des jeunes créateurs aux grandes entreprises ?
C’est la mission confiée à Hyssop : rendre la transformation concrète, désirable et partagée.

Notre réponse : une plateforme RSE au service de la mode responsable

1re étape : créer une plateforme ressource

Nous avons conçu EnModeDurable.fr comme une plateforme RSE dédiée à la mode, ouverte à tous les professionnels du secteur.

Pensée comme un hub de ressources, elle rassemble :

  • Des dossiers thématiques pour comprendre les grands enjeux de durabilité dans la mode.
  • Des guides pratiques pour intégrer l’éco-conception, choisir des matières responsables et structurer sa démarche RSE.
  • Des outils concrets (checklists, fiches pratiques, modèles de documents) pour agir à chaque étape du cycle de vie produit.
  • Des témoignages et études de cas de marques engagées, pour s’inspirer et passer à l’action.

Nous avons travaillé à un univers éditorial clair et pédagogique, avec des contenus pensés pour progresser à son rythme, quel que soit son niveau de maturité sur les sujets RSE.

2e étape : déployer un plan de communication à 360°

Communication interne (adhérents)

  • Création d’un kit clé en main pour présenter la plateforme en interne (PPT, mail, vidéo)
  • Kit de communication B2B pour salons et webinaires (flyers, supports de présentation)

Communication grand public

  • Deux campagnes de posts sur les réseaux sociaux
  • Montage d’interviews de marques pour valoriser les témoignages inspirants

Ce qu’on en retient : rendre la RSE accessible, concrète et collective

🔹 Des contenus accessibles et engageants : vulgariser sans appauvrir permet de toucher aussi bien les novices que les experts.

🔹 Des retours d’expérience concrets : la RSE devient plus réelle quand elle est incarnée.

🔹 Une plateforme bien pensée, un levier d’appropriation collective : centraliser les ressources permet à chacun d’avancer à son rythme.

🔹 La communication intégrée dès le départ : elle renforce l’impact du projet et engage les bonnes cibles au bon moment.

 

🎯 Vous êtes une marque de mode ? Découvrez la plateforme ici : www.enmodedurable.fr

📬 Vous souhaitez créer des outils similaires pour votre filière ? Parlons-en !

 

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Biodiversité menacée : agir pour nos terres et océans

Biodiversité menacée : agir pour nos terres et océans

La biodiversité en mal de terre et de mer

La biodiversité, sur nos terres comme dans nos océans, subit aujourd’hui une pression sans précédent.. Entre agriculture intensive, urbanisation galopante et pêche industrielle, la biodiversité s’effondre à un rythme alarmant, 75 % des terres émergées et 66 % des océans sont déjà altérés par nos activités humaines. Bonne nouvelle : il est encore temps d’agir.

Découvrez comment restaurer la biodiversité et repenser durablement l’usage de nos terres et océans.

Une crise qui s’écrit à ciel ouvert (et sous l’eau)

Imaginez un immense puzzle naturel, où chaque pièce – du papillon aux récifs coralliens – joue un rôle essentiel. Maintenant, visualisez un bulldozer en train de bouleverser ce chef-d’œuvre. C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui : 75 % des terres émergées et 66% des océans sont altérées par les activités humaines.

Des impacts ? Oui, et ils sont colossaux : disparition des espèces, érosion des sols, montée des eaux… Bref, notre planète tire la sonnette d’alarme. Et si on relevait le défi ?

Des terres à bout de souffle

Les terres sont sous pression et l’agriculture intensive est l’une des premières responsables de cette situation. En favorisant la quantité, elle appauvrit la qualité du sol et menace l’équilibre de la biodiversité.

L’agriculture : un double tranchant

Un tiers des terres émergées et trois quarts des ressources en eau douce sont consacrés à l’agriculture. Résultat : un appauvrissement continu des terres les rendant de moins en moins fertiles.

  • Le trio destructeur : huile de palme, soja, cacao, ils remplacent les forêts tropicales au profit de monocultures pauvres en biodiversité, principalement sous les tropiques. Entre 2004 et 2017, 43 millions d’hectares de forêts ont disparu, soit l’équivalent d’environ 80 % de la superficie de la France métropolitaine.
  • Le futur s’annonce corsé : d’ici 2050, les terres agricoles grignoteront davantage l’Amérique du Sud, l’Afrique et l’Asie, menaçant des écosystèmes vitaux.

Quand l’agriculture dérape

Quand un sol est trop exploité, il devient stérile. Il ne peut plus retenir l’eau, filtre moins efficacement les nutriments et perd sa capacité à soutenir la vie. La conséquence ? Des terres, dégradées et abandonnées, ne peuvent plus produire ni nourriture ni biodiversité.

Les mers : un horizon en péril

Passons de la terre aux eaux salées. Contrairement à l’idée reçue, les océans ne sont pas inépuisables. La pêche industrielle, l’aquaculture et l’exploitation minière sous-marine en ont fait les frais.

  • Pêche : le revers de la médaille.
    Les engins de pêche industrielle labourent les fonds marins et détruisent des habitats entiers. Résultat : des écosystèmes sensibles, comme les prairies sous-marines, ont perdu près d’un tiers de leur superficie en 30 ans.
  • Urbanisation marine et érosion côtière.
    L’urbanisation littorale et les infrastructures côtières accélèrent l’érosion des plages, mettant en péril les écosystèmes marins et réduisant les habitats naturels. Un phénomène amplifié par la montée des eaux. Certaines territoires disparaissent déjà, comme 25 îles d’Indonésie.
  • Et demain ?

    L’exploitation minière dans les océans Arctiques pourrait exploser à mesure que la glace fond. Une nouvelle source de pression pour ces écosystèmes fragiles.

L’urbanisation : la bétonisation galopante

Les zones urbaines se multiplient, grignotant les espaces naturels. Depuis 1992, leur superficie a doublé, souvent au détriment des sols fertiles et des zones humides.

  • Béton, routes et infrastructures
Le bitume imperméabilise les sols, empêchant toute vie de s’y développer. D’ici 2050, 25 millions de kilomètres de routes supplémentaires verront le jour, et les barrages hydroélectriques affecteront gravement les écosystèmes aquatiques, notamment en Amazonie et au Congo.
  • Des impacts invisibles mais réels
Les sols et rivières fragmentés réduisent les échanges entre espèces et habitats, accélérant la perte de biodiversité. Un vrai casse-tête écologique.

Les entreprises : moteurs de destruction ou de transition ?

Vous pensez que le problème vient seulement des gouvernements ou des particuliers ? Détrompez-vous. Les entreprises jouent un rôle clé, mais elles ont aussi des solutions à leur portée.

  • Revoir les chaînes d’approvisionnement

    La France a adopté une stratégie ambitieuse : zéro déforestation importée d’ici 2030. Les entreprises peuvent s’inspirer de cette initiative pour auditer leurs filières et privilégier des pratiques respectueuses.
  • Investir dans la biodiversité

    Les paiements pour services environnementaux (PSE) permettent de rémunérer les gestionnaires de terres qui protègent les écosystèmes. Un levier pour intégrer la biodiversité dans les stratégies d’entreprise.
  • Écologie et image de marque
    S’engager pour la nature n’est pas qu’une question de morale : c’est aussi une action différenciante. Aujourd’hui, 70 % des consommateurs attendent des marques qu’elles agissent en faveur de l’environnement.

Des solutions, parce qu’il n’est pas trop tard

Heureusement, tout n’est pas perdu. Plusieurs initiatives montrent qu’il est encore temps d’agir.

  1. Agroforesterie : des arbres au milieu des cultures
    Réintroduire les arbres dans les exploitations agricoles améliore la fertilité des sols, réduit la pression sur l’eau et crée des habitats pour la faune locale. Une technique qui allie productivité et respect de la biodiversité.
  2. Planification spatiale marine
    Soutenu par l’Unesco, ce programme aide les pays à organiser durablement l’utilisation de leurs mers. Une vraie bouée de sauvetage pour nos océans.
  3. Accords internationaux
    Les accords de Kunming-Montréal fixent des objectifs clairs : protéger 30 % des écosystèmes terrestres et marins d’ici 2030. Une ambition que les entreprises peuvent soutenir activement.

Un défi collectif pour un avenir durable

Les changements d’usage des terres et des mers ne sont pas une fatalité. Chacun, à son niveau, peut faire la différence : particuliers, entreprises et décideurs publics. Restaurer la biodiversité, c’est aussi rétablir notre équilibre avec la nature.

Et si nous relevions ce défi ensemble ? Après tout, la planète, c’est notre meilleure alliée. Alors, retroussons nos manches – ou enfilons nos bottes – et agissons !

 

#Biodiversité #Écosystèmes #Déforestation #Océans #AgricultureDurable #Urbanisation #SolutionsDurables #TransitionÉcologique #Conservation #AgirPourLaNature

Lancez vous aussi votre roadmap Biodiversité

Nous accompagnons les entreprises à structurer, de façon ambitieuse mais réaliste, l’allègement de leur impact sur la biodiversité, à travers une Roadmap sur-mesureExpertises.

On explique tout ici

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CSRD et biodiversité : passez de la théorie à l’action en 5 étapes

CSRD et biodiversité : passez de la théorie à l’action en 5 étapes

La biodiversité est un enjeu central du développement durable, désormais mis en lumière par la CSRD. L’ESRS E4, dédié à la biodiversité et aux écosystèmes, impose aux entreprises de documenter, mesurer et réduire leurs impacts sur l’environnement. L’intégration de la biodiversité dans le reporting CSRD devient ainsi un levier stratégique pour aligner votre démarche RSE, votre stratégie ESG et votre conformité réglementaire sur les attentes des parties prenantes et du marché.
Mais au-delà de la conformité, ces exigences offrent une opportunité de redéfinir les stratégies d’entreprise et de renforcer leur résilience.

Comprendre l’ESRS E4 : des obligations à l’action pour la biodiversité

L’ESRS E4 exige des entreprises une approche holistique de la biodiversité, en tenant compte de leurs impacts directs et indirects. Cela inclut :

  1. Évaluer les impacts sur la biodiversité : Identifier les pressions exercées par les activités de l’entreprise sur les écosystèmes.
  2. Réduire et compenser les impacts : Mettre en place des actions mesurables et documenter leurs effets.
  3. Intégrer la biodiversité dans la stratégie globale : Rapprocher les objectifs de durabilité des priorités opérationnelles.

On vous guide en 5 étapes pour intégrer la biodiversité dans votre reporting CSRD

1. Identifier vos impacts sur les écosystèmes

La première étape consiste à évaluer précisément vos impacts environnementaux. Cela inclut :

  • Les impacts directs : les zones exploitées, vos déchets, vos émissions.
  • Les impacts indirects : Les pratiques de vos fournisseurs, la pollution liée à votre chaîne logistique.

Outils : Des solutions comme IBAT, Global Biodiversity Score (GBS), ou SBTN (Science-Based Targets for Nature) permettent d’identifier les écosystèmes vulnérables et de définir des objectifs mesurables.

2. Prioriser vos actions en fonction des enjeux critiques

Après avoir identifié vos impacts sur la biodiversité, il est essentiel de concentrer vos efforts sur les zones et activités où vos opérations exercent une pression significative. Cela inclut les chaînes d’approvisionnement pour des matières premières sensibles et les zones géographiques à forte biodiversité.

Exemple : Kering, groupe de luxe français, a entrepris une évaluation environnementale pour déterminer les matériaux ayant l’impact le plus important sur la biodiversité. L’analyse a révélé que la production de coton pour ses textiles et la chaîne d’approvisionnement du cuir figuraient parmi les principaux contributeurs à la dégradation des écosystèmes.

Pour répondre à ces enjeux, Kering a priorisé l’agriculture régénérative pour le coton dans des régions critiques, telles que l’Inde et les États-Unis, où la monoculture avait épuisé les sols et réduit la diversité biologique. L’entreprise finance des formations et des outils pour les agriculteurs afin de leur permettre de pratiquer une agriculture qui régénère les sols et favorise la biodiversité. Kerin a également réorienté ses pratiques d’approvisionnement en cuir en identifiant les régions où la déforestation, liée à l’élevage, menaçait les écosystèmes, comme en Amazonie. L’entreprise travaille avec des fournisseurs certifiés et soutient des initiatives pour une production sans déforestation.

Résultat : Cette approche ciblée a non seulement réduit l’empreinte écologique de ses chaînes d’approvisionnement, mais a également permis à Kering de renforcer la résilience de ses matières premières tout en démontrant un leadership environnemental au sein du secteur du luxe.

3. Mettre en œuvre des mesures spécifiques

À court d’idées pour répondre aux attentes de l’ESRS E4, voici des exemples d’actions concrètes :

  • Créer des corridors écologiques facilite la connexion entre des habitats fragmentés pour favoriser le déplacement des espèces. Une entreprise agroalimentaire peut financer des projets pour les pollinisateurs dans ses zones de production.
  • Réduire les émissions lumineuses pour protéger les cycles biologiques de la faune locale. Un entrepôt logistique peut adapter ses éclairages nocturnes pour réduire son impact.
  • Restaurer les écosystèmes en réhabilitant les zones affectées par vos activités. Bord na Móna a restauré 800 hectares de tourbières en Irlande alors que son coeur d’activité était l’extraction de tourbe.
  • Intégrer des matériaux alternatifs qui réduisent la pression sur les écosystèmes. Une entreprise de technologie peut réduire l’extraction de métaux rares en favorisant le recyclage.

Mise ne garde : Assurez-vous de mettre en œuvre des actions qui correspondent véritablement aux enjeux spécifiques de votre activité. Copier les initiatives de vos concurrents, sans les adapter à votre contexte, serait inefficace : vos actions doivent être sur-mesure et alignées avec vos priorités stratégiques.

4. Intégrer la biodiversité dans vos opérations internes

Plutôt que de dépendre uniquement d’acteurs externes, les entreprises peuvent se concentrer sur l’intégration de la biodiversité directement dans leurs opérations :

  • Sensibilisation et formation des équipes : Organisez des ateliers pour former vos collaborateurs sur l’importance de la biodiversité et les gestes à adopter.
  • Conception de produits respectueux de la biodiversité : Privilégiez des matériaux qui minimisent les impacts sur les écosystèmes. Une entreprise textile peut opter pour des fibres produites sans pesticides, favorisant les pollinisateurs locaux, par exemple.
  • Repenser les espaces verts de vos sites : Intégrez des zones végétalisées qui favorisent la biodiversité (plantes locales, refuges pour la faune, etc.).

5. Mesurer et suivre vos progrès

Les entreprises doivent établir des indicateurs clairs pour mesurer leurs efforts et faire évoluer leur stratégie dans le temps. Voici des exemples d’indicateurs :

  • Surface d’écosystèmes restaurés (en hectares).
  • Réduction des émissions lumineuses ou des déchets impactant la biodiversité.
  • Nombre d’espèces protégées grâce à vos initiatives.

Exemple : Une entreprise minière peut suivre l’évolution des espèces réintroduites sur des sites restaurés.

Mise ne garde : Lorsque vous choisissez vos indicateurs de suivi, veillez à ce qu’ils soient pertinents.

Les bénéfices stratégiques d’un engagement pour la biodiversité

  1. Réduction des risques : Limitez les impacts environnementaux pour éviter des sanctions réglementaires ou des conflits avec les parties prenantes.
  2. Opportunités de marché : Accédez à de nouveaux marchés et renforcez la compétitivité de vos produits ou services grâce à des certifications durables (coton biologique, bois FSC, etc.).
  3. Création de valeur : Renforcez votre image de marque en valorisant votre engagement auprès des consommateurs et des investisseurs.
  4. Attractivité pour les talents : Les collaborateurs sont de plus en plus sensibles aux valeurs de durabilité des entreprises.

Passez à l’action avec Hyssop Agency

L’intégration de la biodiversité dans votre reporting CSRD est un défi, mais c’est aussi une opportunité de vous positionner comme un leader de la durabilité.
Chez Hyssop Agency, nous vous aidons à identifier vos impacts et priorités, et à mettre en place des actions concrètes et mesurables.

 

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Les 10 actions pour intégrer la biodiversité dans votre stratégie d’entreprise

Les 10 actions pour intégrer la biodiversité dans votre stratégie d’entreprise

Préserver la biodiversité n’est plus une option : c’est une stratégie gagnante. Pour les entreprises, agir concrètement en faveur du vivant devient un marqueur de performance, d’innovation et d’attractivité. Voici 10 leviers simples et puissants pour faire de la biodiversité un atout central de votre démarche RSE et de votre stratégie pour devenir une entreprise plus durable!

Engagez-vous, inspirez, transformez !

1. Connaître et respecter la réglementation

  • Pourquoi c’est crucial ? La législation en matière de biodiversité est de plus en plus stricte, avec des réglementations nationales et internationales. En France, la loi biodiversité impose des obligations claires pour éviter des dommages irréversibles aux écosystèmes.

👉 Les entreprises non conformes s’exposent à des sanctions pouvant atteindre 100 000 € pour non-respect de la législation environnementale.

  • Actions concrètes
    • Réalisez un audit juridique pour identifier les risques de non-conformité.
    • Suivez régulièrement les mises à jour législatives avec des experts juridiques.
    • Formez vos équipes aux enjeux réglementaires spécifiques à votre secteur.

2. S’entourer d’experts pour évaluer vos impacts

  • Pourquoi c’est essentiel ? La préservation de la biodiversité nécessite une expertise pointue : évaluation des impacts, gestion des habitats, suivi des espèces protégées, etc.

👉 75 % des entreprises engagées dans des initiatives biodiversité déclarent avoir sollicité des consultants ou ONG pour renforcer leurs actions.

  • Exemple : Guerlain collabore avec des scientifiques pour protéger l’abeille noire, une espèce essentielle pour la pollinisation et la biodiversité. Cette initiative a renforcé leur chaîne de production tout en améliorant leur image de marque.

3. Intégrer la biodiversité dans les cahiers des charges fournisseurs

  • Pourquoi c’est stratégique ? Vos fournisseurs et sous-traitants peuvent être des maillons faibles en matière d’impact environnemental. Exiger des standards de durabilité renforce l’ensemble de votre chaîne de valeur.

👉 30 % des impacts environnementaux d’une entreprise proviennent de sa chaîne d’approvisionnement.

  • Exemple : IKEA impose des critères stricts à ses fournisseurs, comme la certification FSC pour le bois, garantissant une gestion forestière durable.

4. Collaborer avec des acteurs locaux

  • Pourquoi c’est bénéfique ? Les entreprises opérant sur un territoire ont une responsabilité envers la biodiversité locale. Travailler avec les acteurs locaux renforce votre légitimité et maximise vos résultats.

👉 50 % des projets de restauration de la biodiversité réussis incluent des partenariats locaux.

  • Exemple : en Bretagne, une entreprise agroalimentaire collabore avec une association pour restaurer des zones humides, essentielles à la filtration de l’eau et à la biodiversité.

5. Acheter responsable

  • Pourquoi c’est incontournable ? Chaque décision d’achat peut soutenir des pratiques respectueuses de la biodiversité. Les labels garantissent des produits plus durables.

👉 Les produits certifiés par des labels environnementaux augmentent les ventes de 20% en moyenne.

  • Exemple : l’Oréal a réduit son empreinte biodiversité en achetant uniquement des matières premières issues de filières certifiées comme Rainforest Alliance.

6. Engager vos clients dans la démarche

  • Pourquoi c’est gagnant-gagnant ? Les clients souhaitent consommer de manière responsable. Proposer des actions en faveur de la biodiversité peut renforcer leur fidélité.

👉 67 % des consommateurs sont prêts à payer plus cher pour des produits engagés dans la protection de la biodiversité.

  • Actions concrètes
    • Créez des programmes de fidélité liés à des dons pour des projets biodiversité.
    • Organisez des événements éducatifs pour sensibiliser vos clients.
    • Développez une communication active sur vos engagements et résultats.

7. Intégrer la biodiversité dans les objectifs des managers

  • Pourquoi c’est transformateur ? Les managers influencent la prise de décision. Intégrer la biodiversité dans leurs responsabilités favorise un alignement stratégique.

👉 Les entreprises ayant intégré des objectifs biodiversité dans les évaluations de leurs managers ont réduit leurs impacts de 15 %.

  • Actions concrètes
    • Fixez des objectifs biodiversité clairs et mesurables pour vos managers.
    • Organisez des formations pour sensibiliser les équipes dirigeantes.
    • Récompensez les initiatives exemplaires lors d’événements internes.

8. Financer des projets de restauration

  • Pourquoi c’est un levier puissant ? Investir dans des projets concrets de rétablissement des écosystèmes dégradés, essentiels pour préserver la biodiversité et ses services vitaux

👉 Restaurer un hectare de mangrove peut séquestrer 3 à 5 fois plus de carbone qu’une forêt tempérée.

  • Exemple : Patagonia a lancé un mouvement d’entreprises qui consacre 1 % de leur chiffre d’affaires annuel à des causes environnementales à travers le monde.

9. Former et mobiliser vos collaborateurs

  • Pourquoi c’est indispensable ? Les collaborateurs sont les premiers ambassadeurs de vos engagements. Les former les rend acteurs du changement.

👉 80 % des employés se disent plus motivés dans une entreprise ayant des engagements environnementaux forts.

  • Actions concrètes
    • Créez des sessions de formation adaptées à chaque niveau hiérarchique.
    • Impliquez les collaborateurs dans la définition des plans d’action.
    • Lancez des défis internes pour stimuler l’engagement.

10. Communiquer avec transparence

  • Pourquoi c’est impératif ? La transparence renforce la crédibilité et incite d’autres acteurs à suivre votre exemple.

👉 90 % des entreprises ayant communiqué de manière transparente sur leurs actions environnementales ont vu leur image de marque s’améliorer.

  • Actions concrètes
    • Mettez en place un rapport annuel biodiversité avec des indicateurs clés.
    • Partagez vos avancées sur vos réseaux sociaux et lors d’événements publics.
    • Collaborez avec des journalistes pour faire connaître vos initiatives.

Biodiversité : passez de l’intention à l’action dès maintenant

S’engager pour la biodiversité, c’est investir dans un avenir durable et responsable (OFB). Ces 10 facteurs clés transforment vos obligations en opportunités, renforçant à la fois votre impact positif sur la planète et votre attractivité. Agir dès aujourd’hui, c’est construire un monde où performance rime avec préservation.

 

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Lancez vous aussi votre roadmap Biodiversité

Nous accompagnons les entreprises à structurer, de façon ambitieuse mais réaliste, l’allègement de leur impact sur la biodiversité, à travers une Roadmap sur-mesureExpertises.

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Un condensé d’outils, de clés et d’enthousiasme pour s’engager dans cette grande transition durable (et potentiellement pouvoir fayoter lors de nos Masterclass 🙋‍♀️🙋)


CSRD : SET 1, 2, 3… Partez !

CSRD : SET 1, 2, 3… Partez !

Le reporting durable passe à la vitesse supérieure (et c’est tant mieux)

Vous pensiez que la RSE était une affaire de bonnes intentions à raconter autour d’un café ? La CSRD met les pendules à l’heure avec des règles, des chiffres, et une ambition forte. Décryptons ensemble les SET 1, 2 et 3, ces étapes clés qui transformeront le reporting en levier stratégique pour la durabilité.

NB : Certaines dispositions pourraient évoluer avec l’Omnibus.
Alors on garde l’œil ouvert (et l’Excel à jour). 👀

La CSRD, une nouvelle boussole pour les entreprises

Adoptée en 2022 et en vigueur depuis janvier 2023, la CSRD marque une révolution dans le monde de la RSE en uniformisant le reporting durable à l’échelle européenne. Avec un focus sur la double matérialité, elle pousse les entreprises à intégrer es enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) au cœur de leurs stratégies et ainsi à examiner :

  • Les impacts de leurs activités sur la société et l’environnement.
  • Les risques et opportunités liés à la durabilité qui influencent leur performance financière.

Et pas de passe-droit ici : environ 50 000 entreprises en Europe sont concernées (chiffres qui évoluera probablement avec l’omnibus), contre seulement 11 600 sous la directive précédente. Une transformation progressive mais ambitieuse, qui repose sur trois grandes étapes ou SET.

SET 1, ou les fondations du reporting

Le SET 1, publié en juillet 2023, constitue la première pierre de l’édifice. Il s’adresse aux grandes entreprises (plus de 250 salariés, 40 millions d’euros de chiffre d’affaires, ou 20 millions d’euros de bilan total) et sera applicable dès 2025 pour l’exercice fiscal 2024.

Les normes ESRS incluses : une vue à 360°

  • Transversales : ESRS 1 et 2 définissent les cadres et données générales à fournir.
  • Environnementales : de la réduction des émissions (E1) à la gestion de la biodiversité (E4).
  • Sociales : conditions de travail, diversité, impact sur les communautés locales.
  • Gouvernance : gouvernance d’entreprise, éthique, gestion des risques.

Avec le SET 1, l’Union européenne met la barre haut en demandant aux entreprises de jouer cartes sur table, non seulement sur leur impact environnemental, mais aussi sur leur capacité à naviguer dans un monde où durabilité rime avec compétitivité.

SET 2 et la simplification et proportionnalité pour les PME et filiales

Le SET 2, prévu pour 2027 (exercice 2026), adapte les exigences pour les PME cotées, les filiales, et certains groupes spécifiques. L’idée est de leur offrir une approche allégée mais cohérente avec les principes de la CSRD.

Les points clés à retenir :

  • Proportionnalité avant tout : des normes simplifiées adaptées aux capacités des PME.
  • Reporting consolidé : les filiales peuvent se référer aux données de leur maison mère.
  • Flexibilité : un report optionnel jusqu’en 2028 est possible pour les PME.

Le SET 2 est un tremplin pour les petites structures qui, même si elles ne sont pas encore sur le podium de la durabilité, peuvent se lancer dans la course en douceur.

SET 3, les spécificités sectorielles

Prévu à partir de 2025-2026, le SET 3 introduira des normes sectorielles pour répondre aux besoins spécifiques des secteurs à fort impact : énergie, transport, agriculture, etc. Un pas vers une personnalisation du reporting durable qui vise à refléter les réalités et les enjeux propres à chaque industrie.

Ce qu’on peut en attendre :

  • Des exigences adaptées à des secteurs comme la finance ou le numérique.
  • Une mise à jour continue pour intégrer les nouveaux défis, comme la finance durable.

Avec le SET 3, l’Union européenne souhaite ne rien laisser au hasard.

Pourquoi s’emparer de la CSRD dès maintenant ?

Si la CSRD peut donner des sueurs froides à certains dirigeants, elle est avant tout une opportunité stratégique pour

    1. Renforcer sa crédibilité : un reporting transparent et fiable attire les investisseurs, rassure les partenaires et booste la réputation de votre entreprise.
    2. Mieux gérer ses risques : l’analyse de double matérialité permet d’identifier les enjeux prioritaires et d’éviter de disperser ses ressources sur des actions peu impactantes.
    3. Un mobilisation interne : c’est l’occasion de mobiliser l’ensemble des collaborateurs et de les pousser à agir dans leur périmètre de compétences.
    4. Des progrès mesurables en fixant des objectifs clairs et en suivant les avancées pour motiver ses équipes.

Comment réussir sa CSRD ?

Pour transformer l’obligation en atout, structurez votre démarche :

    1. Former ses équipes : des opérationnels au COMEX, il faudra embarquer tout l’équipage !
    2. Anticiper ses besoins : la collecte de données, souvent fastidieuse, nécessite des processus solides.
    3. Mettre en place un pilotage en créant un comité dédié au suivi et à l’ajustement des actions menées.
    4. Préparer l’audit : il est obligatoire et garantit la fiabilité des informations collectées.

Il faut se rappeler que la CSRD n’est pas une fin en soi mais plutôt le début d’un chemin vers une performance durable et pérenne des entreprises.

La CSRD, un levier pour réinventer sa stratégie d’entreprise

Les SET 1, 2 et 3 de la CSRD redéfinissent les règles du jeu en obligeant les entreprises à mesurer, comprendre et agir sur leurs impacts ESG et sur ce qui les impacte. Ce reporting  de durabilité peut donc vite être transformé en outil stratégique si l’on arrête de voir la CSRD comme une contrainte.

Chez Hyssop, on la voit comme une opportunité d’engager ses équipes, de créer de la valeur et de prendre part à la transition durable. Car oui, avec la CSRD, l’Europe a fait un pari ambitieux : celui de rendre le développement durable incontournable.

📍 Les SET vous montrent la voie. À vous de transformer le reporting en moteur d’action.

 

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Envie d’en savoir plus sur la CSRD ou d’être accompagné dans votre démarche?

Contactez Hyssop dès aujourd’hui et faisons de votre reporting un moteur de performance durable.

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Un condensé de méthode, d’outils, et surtout d’enthousiasme pour faire de la CSRD une opportunité d’engager l’entreprise et le collectif dans une vraie démarche de transformation.


CSRD : un atout stratégique pour les entreprises

CSRD : un atout stratégique pour les entreprises

Loin d’être une simple directive, la CSRD est un outil stratégique pour transformer durablement votre entreprise.

Avec la CSRD, l’Europe impose aux entreprises une réflexion stratégique autour de leur impact durable. Mais loin d’être un simple exercice de conformité, elle ouvre la voie à des bénéfices concrets : compétitivité renforcée, innovation, mobilisation des équipes et anticipation des risques. Décryptage.

La RSE : Moteur de performance globale

La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) ne se limite plus à un supplément d’âme ou à un argument marketing. C’est aujourd’hui un levier stratégique de performance :

  • Compétitivité accrue : des pratiques durables séduisent les investisseurs et fidélisent les consommateurs, toujours plus exigeants.
  • Mobilisation interne : les collaborateurs s’alignent plus facilement sur une vision porteuse de sens.
  • Innovation stimulée : les défis environnementaux et sociaux obligent les entreprises à innover, revisitant leurs produits et process.

La CSRD structure ces ambitions et les amplifie grâce à un cadre de reporting rigoureux.
Ce n’est pas qu’une directive : c’est un accélérateur de résultats concrets.

Compétitivité et confiance des investisseurs renforcées

La CSRD donne aux entreprises un atout majeur pour se démarquer dans un monde où la durabilité devient un critère de choix clé. Comment ? Grâce à :

  • Des données comparables : en harmonisant les référentiels ESG, elle offre aux entreprises une base solide pour se positionner clairement sur leur impact.
  • Une transparence accrue : les rapports certifiés deviennent des gages de fiabilité, inspirant confiance aux investisseurs, partenaires et clients.

Exemple : une entreprise qui prouve son engagement via des indicateurs ESG crédibles pourra attirer des capitaux à des conditions avantageuses, car les investisseurs valorisent désormais les entreprises prêtes pour une économie bas-carbone.

Analyse des risques et priorisation stratégique

Le principe de double matérialité, clé de la CSRD, est une méthode puissante pour identifier les enjeux prioritaires :

  • Matérialité d’impact : comment l’entreprise affecte son écosystème (environnement, société).
  • Matérialité financière : comment ces enjeux impactent les résultats économiques.

Avec cette approche, les entreprises :

  • Priorisent leurs ressources sur les actions à fort impact.
  • Anticipent les risques ESG, comme les pénuries de matières premières ou les réglementations strictes.
  • Transforment les défis en opportunités, en adaptant leurs modèles d’affaires pour rester compétitives.

Innovation et engagement collectif : les nouveaux moteurs du changement

La CSRD ne concerne pas seulement les dirigeants. Elle mobilise l’ensemble des collaborateurs, les invitant à repenser leurs pratiques. Les avantages sont multiples :

  • Innover en équipe : chaque métier est challengé pour intégrer des solutions durables.
  • Favoriser l’amélioration continue : la mesure régulière des progrès, même modestes, nourrit la motivation interne.
  • Renforcer la culture d’entreprise : s’unir autour d’une vision durable limite le turnover et renforce l’engagement.

Astuce : communiquer sur les premières victoires, même petites, agit comme un moteur puissant. Comme on dit, “petites victoires, grands effets”.

Orienter les financements pour accélérer la transformation

Avec la CSRD, les budgets alloués à la RSE ne sont plus perçus comme une contrainte. Ils deviennent des investissements stratégiques. Pourquoi ?

  1. Des financements mieux ciblés : l’analyse de double matérialité aide à allouer les ressources sur les actions à fort impact.
  2. Subventions et aides renforcées : les entreprises conformes accèdent plus facilement à des dispositifs publics favorisant leur transition.

Concrètement : en investissant intelligemment, les entreprises accélèrent leur transformation durable et renforcent leur résilience.

Transparence : une arme de différenciation

À l’heure où greenwashing et méfiance vont bon train, la CSRD impose un standard clair :

  • Des données auditées et fiables : elles inspirent confiance à toutes les parties prenantes.
  • Un storytelling crédible : on passe du “greenwashing” au “story-proving”, où chaque affirmation est soutenue par des preuves concrètes.

Résultat : une transparence qui ne se contente pas de rassurer, mais qui différencie clairement les entreprises engagées sur un marché de plus en plus exigeant.

Pourquoi la CSRD est une opportunité stratégique

Si elle peut sembler contraignante, la CSRD est en réalité une chance unique pour les entreprises. Elle permet de :

  • Renforcer la compétitivité en se différenciant.
  • Identifier et gérer les priorités stratégiques grâce à l’analyse des risques.
  • Mobiliser les équipes autour d’un projet porteur de sens.
  • Optimiser les budgets en orientant les investissements sur des actions à fort impact.
  • Inspirer confiance grâce à des rapports transparents et fiables.

La CSRD, moteur de transformation durable

Se conformer à la CSRD, ce n’est pas simplement cocher des cases. C’est bâtir un futur durable, solide et compétitif. En structurant leurs démarches ESG, les entreprises ne font pas que répondre à une obligation : elles créent de la valeur, innovent et s’assurent un avantage stratégique durable. Et si la vraie transformation commençait ici ?

Chez Hyssop, nous vous accompagnons pour faire de la CSRD un levier de progrès et non une contrainte.
Prêts à écrire ensemble l’avenir de votre durabilité ?

 

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